Biographie de Van Eyck

Jan Van Eyck

Jan Van Eyck est né en 1495 et meurt le 9 juillet 1441 à Bruges . Il y a d’ailleurs un livre parlant de son histoire qui se nomme l’enfant de Bruge de Gilbert Sinoué , le livre raconte l’histoire d’un enfant adopté par Van Eyck qui suivra ses traces mais je vous passe les détails . Van Eyck est un peintre Néerlandais et va développer et perfectionner la peinture à l’huile ( La peinture à l'huile est une technique qui consiste à mélanger des pigments de couleur à de l'huile pour obtenir une pâte . en même temps, un traitement linéaire satisfaisant et des effets nets sont facilement obtenus ) Ses peintures sur panneaux naturalistes, principalement des portraits et des sujets religieux, utilisaient énormément des symboles religieux déguisés. Son chef-d'œuvre est le retable  de la cathédrale de Gand  , L'Adoration de l'Agneau mystique (également appelé l'Agneau mystique , 1432). En 1431, Jan acheta une maison à Bruges et, à peu près au même moment, épousa une femme nommée Marguerite, dont on ne sait guère plus que le fait qu'elle était née en 1406 et qu'elle devait lui donner au moins deux enfants. Résidant à Bruges, Jan continue à peindre et, en 1436, il effectue à nouveau un voyage secret pour Philippe. Après sa mort en 1441, il fut enterré dans l'église Saint-Donatien, à Bruges. Des peintures solidement attribuées ne survivent que de la dernière décennie de la carrière de Jan ; par conséquent, ses origines artistiques et son développement précoce doivent être déduits de son travail de maturité ___  la composition élégante de la peinture ultérieure de Jan doivent beaucoup à des enlumineurs du début du XVe siècle comme le maître anonyme de Boucicaut et les frères de Limbourg , qui travaillèrent pour les ducs de Bourgogne. Un document de 1439 rapporte que Jan van Eyck a payé un enlumineur pour préparer un livre pour le duc, mais l' attribution a été au cœur de la discussion sur ses liens avec l'illustration manuscrite.à Jan de plusieurs miniatures, identifiées commeMain G, dans un livre de prières problématique connu sous le nom d'Heures Turin-Milan. Les peintures sur panneaux deRobert Campin , peintre tournaisien dont le rôle important dans l'histoire de l'art néerlandais n'a été rétabli qu'au XXe siècle. Jan a dû rencontrer Campin au moins une fois, lorsqu'il fut fêté par la guilde des peintres de Tournai en 1427, et de l'art de Campin il semble avoir appris le réalisme audacieux, la méthode du symbolisme déguisé et peut-être le caractère lumineux .technique à l'huile qui est devenue si caractéristique de son propre style. Contrairement à Campin, bourgeois de Tournai, Jan était un érudit travaillant dans une cour très fréquentée, et il signait ses tableaux, une pratique inhabituelle pour l'époque. La majorité des panneaux de Jan présentent la fière inscription « IOHANNES DE EYCK » et plusieurs portent sa devise aristocratique « Als ik kan » (« Du mieux que je peux »). Il n'est pas étonnant que la réputation de Campin se soit estompée et que son influence sur Jan ait été oubliée, et il n'est pas surprenant que bon nombre des réalisations de Campin aient été attribuées au jeune maître. Bien que Jan van Eyck ait signé 9 tableaux et daté 10, l'établissement de son œuvre et la reconstruction de sa chronologie posent des problèmes. La difficulté majeure est que le chef-d'œuvre de Jan, le retable de l'Adoration de l'Agneau mystique , comporte une inscription tout à fait discutable qui introduit Hubert van Eyck comme maître principal. Cela a amené les historiens de l'art à se tourner vers des œuvres moins ambitieuses mais plus sûres pour retracer l'évolution de Jan, notamment : le Portrait d'un jeune homme ( Leal Souvenir ) de 1432, le Portrait d'Arnolfini (en entier).Portrait de Giovanni Arnolfini et de sa femme ) de 1434, la Madone avec le chanoine van der Paele de 1434-1436, le triptyque La Vierge à l'Enfant avec les saints de 1437 et les panneaux de Sainte Barbe et de la Madone à la fontaine , datés respectivement de 1437style picturalplus délicat, plutôt précieux .

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