La Religion S'occupe Des Questions Auxquelles La Culture N'a Pas De réponse

La Religion s’occupe des questions auxquelles la culture n’a pas de réponse.

Nous savons que la religion est l'ensemble des croyances, sentiments, dogmes et pratiques qui définissent les rapports de l'être humain avec le sacré ou la divinité. Dans le cas présent nous allons parler de la mort d’un être chère et du deuil que cela entraine. Le deuil est la perte par la mort d'un être cher comme un parent, un enfant, un(e) conjoint(e) ou un(e) ami(e) proche. Il peut survenir à n'importe quel moment de la vie et dans la vie de n’importe qui. C’est vrai qu’il est difficile d’affronter la mort de quelqu’un qu’on aime profondément, quelque ce soit le lien qu’il ya entre vous mais cela est aussi naturel que vivre. La mort est quelque chose dont personne ne peut douter.

Ce processus du deuil nous l’avons traversé tous à un moment ou un autre de notre vie. Et quand cela arrive il est toujours difficile de le comprendre et même de l’accepter. Vouloir comprendre au-delà, c'est se torturer, c'est se poser des questions qui risquent de rester sans réponse. L’homme a tendance à ce demander pourquoi moi, qu’ai-je fais pour endurer cette souffrance. Malheureusement nulle ne peut répondre à cette inquiète. Même savoir faire des médecins peut tout juste rafistoler pour un temps, ce qui est brisé, mortifié, écrasé, blessé. Et généralement ces personnes se revêtissent d’un sentiment de culpabilité. Aucun médecin ne peut prémunir contre la mort.

Cette expérience peut être très intense, déstabilisante et même effrayante pour ces personnes. On a l’impression que tout notre monde s’écroule et que plus rien n’a de sens pour vous. Vous avez un sentiment d’irréalité et vous vous sentez perdu, comme si vous faisiez un mauvais rêve. En un mot vous avez mal. Vous éprouvez de la tristesse, de la colère, un manque de concentration, une perte d’intérêt et de motivation, de la peur, de la culpabilité, du déni, une dépression, du regret et de la nostalgie. Vous remettez peut-être en question vos choix de vie, vos croyances religieuses, vos relations et votre avenir. Lorsque l’on connaît la mort d’un proche, conjoint ou enfant, le monde s’écroule. On se demande si l’on pourra un jour surmonter cette douleur, retrouver le goût de la vie. Mais avec du temps, il est possible de remonter la pente, et de se tourner à nouveau vers l’avenir. La douleur ressenti est tellement forte et ne cesse de s’intensifier au fur à mesure que les jours passe dans le cœur de l’endeuillé. Au début on a le sentiment qu’on ne s’en remettra jamais. Pourtant, on s’aperçoit qu’en fait de compte on ne veut pas s’en remettre parce qu’on a peur d’oublier. On a peur d’effacer cet être chère dans notre cœur. . Pourtant, faire son deuil, ce n’est pas oublier, c’est s’apercevoir qu’on peut vivre cette souffrance autrement que dans les larmes. Maïs ou on ne prête pas attention quand on vit dans le bonheur et sans drame, c’est de qui nous somme. Nous croyons que nous pouvons tout mais la réponse a la mort a toujours été de nature religieuse. Pour dire que nous ne devrons pas nous croit invincible au point de nié l’hypothèse d’une autre vie après notre mort temporelle. Nous pouvons trouver la force nécessaire pour surmonter cette épreuve mais cela demande que l’intelligence

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