Rapport Société Générale

Remerciements

« Soyons reconnaissants aux personnes qui nous donnent du bonheur ; elles sont les charmants jardiniers par qui nos âmes sont fleuries. » Marcel Proust

Je dédie ce rapport à tous ceux qui de près ou de loin ont contribué à la réussite de ce stage.
A ma famille qui a toujours été présente et qui représente une grande source de motivation pour moi. Mention spéciale à mon père Monsieur Mamadou DOSSO, pour son assistance, ses conseils et son combat quotidien pour offrir le meilleur à ses enfants.
A Monsieur Sieu Amara COULIBALY, Directeur des Services Bancaires et de l’Organisation de la SGBCI pour sa recommandation et sa présence lors de cette expérience professionnelle.
Grand merci à mon oncle, Monsieur Raffael Okon KOUASSI, pour son accueil chaleureux et son assistance personnelle durant toute la période de stage.
Aussi toutes mes reconnaissances vont à l’encontre de certains condisciples dans le cadre de l’élaboration de ce rapport de stage.

Ainsi avant tout développement sur cette expérience professionnelle, il apparaît opportun de commencer ce rapport de stage par des remerciements envers ceux qui m’ont beaucoup appris au cours de ce stage, et même à ceux qui ont eu la gentillesse de faire de ce stage un moment très profitable.

En ce sens je tiens à remercier :

Monsieur Legnime YEO, Directeur Adjoint Multicanal, Marketing, Distribution et Communication (2MDC) pour son accueil au sein du département,

Madame Sandra GOMEZ, Responsable Régionale Développement des Marchés pour m’avoir facilité mon intégration au sein du Service Produits,
Madame Fatoumata DIALLO DIABY, Responsable Service Produits, pour son accueil ;
Mon maitre de stage, Mademoiselle Aude-Carine BLE, Chef Produits Monétiques, pour son tutorat ses conseils et orientations quotidiens ;
Remerciements particuliers aux collaborateurs du Service Produits, à savoir :

Madame Edwige SOPPIE, Responsable Produits Packaging ;

Madame Makon COULIBALY, Chef de Produits Corporate (Entreprise) ;

Mademoiselle Pélagie DJABIA, Chef Produit Crédit à la Consommation ;

Mademoiselle Mireille SIBAILLY, Responsable Produits Épargne et Placement ;

Mademoiselle Marie-Pascale ATTEY, Responsable Produits Bancassurance ;
Enfin à M. Donald MBATCHOU, Stagiaire Produits Bancassurance.

Remerciements        1

Résumé        3

Introduction        4

I.        Présentation de l’organisme d’accueil        6

1.        La SGBCI, une filiale du groupe Société Générale        6

2.        Le groupe Société Générale en bref        9

II.        L’ANAlYSE PRAGMATIQUE DE la QUESTION DE la GESTION DE risque du credoc au sein de la sgbci        10

A.        Le crédit documentaire        10

1.        Les intervenants        10

2.        Le fonctionnement, une procédure complexe et risquée        11

        11

B.        La gestion du risque de crédit documentaire        13

1.        Les caractéristiques        13

2.        Les avantages du crédit        14

III.        Bilan personnel du stage        16

A.        Les apports du stage        16

B.        Quelques difficultées rencontrees        16

Conclusion        18

Bibliographie        19

ANnexes        20

Résumé

Le Chef produit monétique et le gestionnaire de crédit documentaire sont très souvent confrontés à des problèmes. Que de souffrances avec le crédit documentaire. Bien que les nouvelles règles (RU 600) aient été allégées en faveur du bénéficiaire, le risque de paiement différé ou de non-paiement subsiste. Les litiges avec le client (donneur d’ordre) sont nombreux.

Pour éviter cet état de fait et ainsi accroitre leurs légitimités auprès de leurs clientèles, certains établissements financiers misent sur un service de qualité comme pour améliorer les RU 600.

Le stage de trois mois que j’ai effectué à la Direction Multicanal, Marketing, Distribution et Communication (2MDC) de la Société Générale de Banques en Côte d’Ivoire suite à ma troisième année de formation en Marketing et Commerce s’articule autour de cette procédure.
Avec pour mission principale, « les moyens de financement du commerce extérieur : cas du crédit documentaire », il m’est apparu nécessaire de faire une réflexion sur les contrôles de qualité des moyens de financement en dégageant la thématique suivante “Quelle gestion du risque de crédit documentaire ? “.

Le choix de ce thème n’est pas fortuit. En effet dans les pays en développement en général et les pays africains en particulier, les acteurs du commerce international sont confrontés à des manques de confiance de la part des producteurs occidentaux.
Ce rapport a donc pour but de mettre en exergue la délicatesse d’un moyen de paiement bien connu qu’est le crédit documentaire. Il décrira au passage la structure qui m’accueillie et exposera le bilan des trois mois de stage que j’ai pu y effectuer.

Introduction

L’environnement des affaires est marqué par une prolifération des échanges de biens et services ces dernières années. Le commerce international étant en pleine expansion. Les firmes nationales prennent de l’envergure au point de devenir des multinationales. Au préalable, notons que le commerce international existe depuis des siècles et connaît un essor remarquable du fait de la mondialisation dont il est une composante majeure. Son caractère obligatoire est né du fait qu’aucun pays ne peut se contenter de son seul territoire géographique pour produire et consommer l’ensemble des biens et services nécessaires pour la satisfaction des besoins de sa population. Face à cette nouvelle donne, l’on peut dire que le principal moteur de l’intégration économique et mondiale est incontestablement le commerce international.

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