Rapport individuel final

Après une première lecture du rapport individuel remit au début de la session, la seule phrase me venant à la bouche est ; Quel cheminement !  Je me vois encore dans mes débuts dans le monde de la gestion de projets avec mes ‘’semblant’’ de responsabilités que je trouvais tellement stressantes.  En effet, un énorme changement côté professionnel a été fait. J’ai beaucoup plus de responsabilité qu’à mes débuts. Au commencement, il était question d’assister ma directrice de projet dans l’ensemble de ces tâches.  Maintenant, j’ai mes propres projets, mes propres clients !  Nous travaillons parallèlement ayant chacune nos projets.  Pour moi, c’est une très bonne avancée vers les buts que je désire atteindre professionnellement.  Mes responsabilités depuis le début de la session ont pratiquement triplés, et cela, en si peu de temps !  J’ai presque éclatée de rire en lisant pour la première fois mon rapport individuel sur les apprentissages ; ‘’Nous sommes une assez grosse compagnie et nous aurions eu besoin d’une deuxième adjointe afin de m’assister’’.  Maintenant, nous aurions besoins d’une deuxième ‘’moi’’, et je ne suis pas la seule à le dire !  La théorie vue dans le cours est pour moi une très bonne manière de mettre des mots sur plusieurs actions que je pose au quotidien.

Je suis en mesure de confirmer que mes croyances et mes perceptions étaient les bonnes.  En effet, la confiance restera toujours un concept important selon moi, dans la gestion de projets. Comme nous l’avons vu dans le cours, plusieurs compétences clés sont, de mon point de vue, en relation avec la confiance en soi.  La communication est pour moi, la plus importante des compétences qu’un gestionnaire de projet doit avoir.  Il doit être en mesure de très bien l’a maîtrisée.  La communication fait partie intégrante de la journée d’un gestionnaire de projet.  Il communique avec les membres de son équipe en tout temps ; soit pour faire des suivis, soit pour leurs assigner des tâches ou même pour seulement parler de leur fin de semaine.  Un gestionnaire de projet n’ayant pas confiance en lui aura du mal à se faire comprendre des autres et aussi, à approcher les autres.  Il doit être en mesure d’être précis, clair et optimale dans ces dires et ces demandes.  De plus, s’il n’a pas confiance en lui, il peut avoir de la difficulté à créer un lien avec l’autre.  La détermination est une autre compétence clé importante dans la gestion de projet. Sans confiance, la détermination ne peut être ferme et concise.  Elle se doit être remplie de confiance, sans cela, il sera difficile pour le gestionnaire de projet d’atteindre les buts et les objectifs qu’il s’est fixés.  Avoir confiance en soi passe aussi par la délégation.  Se rendant compte de son potentiel, le gestionnaire de projet doit être en mesure de déléguer aux membres de son équipe afin de leurs apporter un bagage professionnel mais aussi de leurs montrer qu’il a confiance en leurs capacités. Sans confiance en soi, le gestionnaire de projet pourrait être en mesure de déléguer mais pas pour les bonnes raisons.  De plus, il est important de préciser qu’une personne ayant confiance en elle dégage aussi cette confiance devant les autres.  C’est ainsi qu’il est extrêmement important que le gestionnaire de projet ait confiance dans lui, puisque dans ce sens, les membres de son équipe auront d’une part, confiance en eux et en leurs capacités et d’une autre part, ils auront aussi confiance en lui.  Cette harmonie permet la création d’une relation de confiance entre les membres de l’équipe et le gestionnaire mais aussi, une cohésion groupale qui renforce le sentiment d’équipe.  Comme mon équipe et moi l’avons appris tout au long de notre projet dans le cadre du cours, entretenir de bonne relation avec les autres est primordial dans la gestion de projet.  Il est important que le chef de la troupe entretienne de bonnes relations avec son équipe, sans cela, les problématiques peuvent avoir des répercussions sur les autres membres et même, sur l’ensemble du projet.  Ce qui n’est pas dans l’intérêt du gestionnaire puisque, comme nous l’avons vu en classe, la première tête à rouler par terre est celle de ce dernier. Il est donc dans l’intérêt du gestionnaire d’assurer la cohésion groupale de son équipe.

J’avais de la difficulté à anticiper le fait d’avoir à jouer avec des chiffres.  Dans le cadre de mon  travail, avec mes nouvelles responsabilités, il m’arrive parfois de devoir faire face à la réalité des mathématiques.  Pour être honnête, la tâche n’est pas si difficile (pour le moment).  Comme nous l’avons vu dans le cours, nous devons estimer des coûts, qui selon est une tâche assez ‘’facile’’.  Nous avons aussi à faire le calcul des budgets.  Cette tâche me faisait un peu plus peur.  N’ayant pas d’expérience vraiment dans le domaine des budgets, surtout dans le domaine de la gestion, nous avons appris qu’il fallait transposer les quantités en dollars, faire l’évaluation des coûts par activité et obtenir les coûts unitaires pour les ressources humaines, matérielles et toutes autres ressources confondues.  Avec le temps et l’expérience (surtout), je crois que les budgets peuvent devenir une tâche assez facile.  Ne sachant pas les coûts initiaux de base, il est difficile de devoir faire des estimations et des préparations de budget sans savoir un peu les coûts de base.  Avec le temps, l’expérience fera son apparition et les chiffres ne seront plus une menace pour moi.

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