Comprenez vous qu’on puisse être fasciner par la vitesse dont sont capables certaines machines et même l’être humain quand il s’adonne à certains sports ?

Comprenez vous qu’on puisse être fasciner par la vitesse dont son capable certaines machines et même l’être humain quand il s’adonne à certains sports ?

Depuis toujours la vitesse est associée à l’exploit dans le monde sportif. La compétition reflète cette ivresse de la vitesse. Les progrès techniques et technologiques ont aussi favorisé cette chasse au temps, à l’optimisation de ce dernier et des compétences. Et pourtant certaines disciplines peuvent se révéler extrêmement lente en pratique. Cette fascination pour la vitesse peut être un moyen d’exutoire, de recherche d’adrénaline, de challenge mais aussi de mise en danger.

Je présenterais tout d’abord la quête aux temps, aux scores et à l’exploit de l’Homme à travers les siècles, ensuite je parlerai des différentes technologies utilisées par l’être humain pour atteindre ces objectifs sportifs et enfin j’aborderais la frontière infime entre la fascination et ses limites.

Depuis toujours l’homme cherche à se dépasser, à égaliser voire établir un nouveau record. La majorité des tournois se font sur une échelle de temps. Meilleur sera ton temps, meilleur tu seras classé. Le nageur Américain Michael Phleps est l’un des hommes le plus décorer de l’histoire dans sa discipline. L’athlète professionnel a une seule ambition, être meilleur que le meilleur. La vitesse physique d’un homme est certes l’une des premières compétences qui nous vient en tête quand on parle de vitesse. Nous pouvons citer Jim Hines, qui a parcouru 100m en 9,95 secondes, ce qui en a fait le premier homme de l'histoire à parcourir 100 mètres en moins de dix secondes en 1968. Ce qui n’empêche pas Usan Bolt, 40 ans après de battre ce record avec 9.58 secondes. D’autres discipline ne necessite pas des capacités humaines mais plutôt existe grâce aux avancés technologiques et techniques. Ce qui nous amène naturellement vers notre seconde partie.

L’être humain ne cesse de faire évoluer son monde afin d’accroitre ces compétences, se rendre plus rapide ou encore optimiser le plus de tâche possible afin de se concentrer uniquement sur l’objectif. L’évolution des moyens de transport tel que le train, la voiture ou encore la moto a permis de pouvoir être plus rapide et donc plus efficace. Cette découverte a également amené la frénésie des sensations fortes. Un pilote automobile peut s’aventurer dans la compétition sans forcément avoir lui-même les capacités physiques pour une tel vitesse. D’autre part dans la pratique de la voile, les qualités du marin et de l’équipage sont d’une importance capitale, comme en témoigne l’exploit du navigateur français Michel Desjoyeaux au Vendée Globe 2008- 2009. Mais il arrive que la différence se joue sur la technologie des voiliers, pour lesquels on paye des prix très variés pour différents types de qualité de gamme.

Dans le cyclisme, rappelons-nous que lors d’une final de Tour de France entre le français Laurent Fignon et l’américain Greg LeMond en 1986, une extension de guidon a surpris tout le monde. Cette technique permet de gagner en vitesse pour une même puissance musculaire. Les progrès techniques n’ont pas seulement apporté de la performance mais également de la sécurité avec les casques et les protections pour justement essayer de contrer le double effet néfaste de la vitesse : le danger.

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