Mouvements littéraires
Rapport de stage : Mouvements littéraires. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar shagau • 17 Mars 2019 • Rapport de stage • 303 Mots (2 Pages) • 512 Vues
Les mouvements littéraires
L’humanisme
Apparu au XVIe siècle, l’humanisme aborde la mythologie, les sentiments, la fuite du temps… Ce sont les sujets les plus abordés par ce mouvement qui place l’Homme au centre de tout. Rabelais, Montaigne et Agrippa d’Aubigné sont les principaux auteurs de cette période.
Le baroque
Maniéré, bizarre…ce mouvement traite des illusions, des apparences en mettant l’accent sur les aspects étranges du monde. Corneille, Saint-Amant sont des auteurs baroques
Les Lumières
C’est une époque « éclairée » qui mise sur le progrès social et scientifique pour élever l’Humanité, apparu au XVIIIe siècle. On parle de tolérance, de justice et on lutte contre les fanatismes chez Montesquieu, Voltaire ou Diderot
Le romantisme
Au début XIXème siècle, Chateaubriand, Lamartine, Musset, Hugo explorent la palette des sentiments, des plus joyeux aux plus pathétiques. Le mouvement se caractérise par une volonté de l'artiste d'explorer toutes les possibilités de l'art afin d'exprimer ses états d'âme : il est ainsi une réaction du sentiment contre la raison, exaltant le mystère et le fantastique et cherchant l'évasion et le ravissement dans le rêve, le morbide et le sublime, l'exotisme et le passé, l'idéal ou le cauchemar d'une sensibilité passionnée et mélancolique.
Le réalisme
A la fin du XIXème siècle, on aborde la misère sociale, luttes de classe, poids des traditions… Zola, Balzac, Stendhal ou Flaubert s’engagent aux côtés des plus miséreux. Leur mouvement s’attache à dépeindre la réalité telle qu’elle est, sans les artifices des périodes précédentes.
Le symbolisme (fin XIXème)
« Une rose qui se fane comme un amour qui meurt… » Et s’il valait mieux suggérer que décrire? C’est l’idée du symbolisme, qui s’épanouit surtout en poésie avec Verlaine, Rimbaud ou Mallarmé, qui dévoilent le monde caché des sens à travers les symboles. Pour les symbolistes, le monde ne saurait se limiter à une apparence concrète réductible à la connaissance rationnelle.
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