Théorie d'analyse de la personnalité

Simon Lachance[pic 1]

Analyse de la personnalité

Présenté à :
Monsieur Pierre-Luc Gilbert-Tremblay
Dans le cadre du cours Développement humain et santé mentale
PSY-KOA-04

Collège Jean-de-Brébeuf
Département d’Anthropologie, de Psychologie et de Sciences religieuses
11 Novembre 2018

Table des matières

Courte anamnèse        1

Analyse de la première théorie        2

Analyse de la seconde théorie        4

Hypothèse sur le développement de sa personnalité        6

Critiques et limites de l’analyse        9

Bibliographie        10

Courte anamnèse

Je suis un étudiant du Cégep en science de la nature profil santé. Je travaille dans le restaurant de mon oncle comme cuisinier. Mon choix de carrière est bien précis, je voudrais devenir dentiste. J’ai toujours adoré l’anatomie et la physiologie humaine. C’est ce qui m’a convaincu de me diriger vers une carrière de dentiste. Les études sont donc très importantes pour moi et j’en fais ma priorité. Mes parents m’ont toujours soutenu dans mes études et ils se sont toujours impliqués sans être trop présents. Ils m’offraient du support moral et m’ont toujours inculqué que ce qui comptait dans la vie était que je sois heureux dans ce que je fais. Au secondaire, j’étais un étudiant très respecté puisque j’excellais au niveau académique. C’est au secondaire que j’ai réalisé que j’étais plus brillant que je le croyais. Lorsque j’étais jeune, j’avais une très bonne relation avec mes parents et mes frères. Je considère mes parents du style démocratique, puisque j’étais bien encadré. J’étais un enfant calme, heureux et curieux. Je voulais toujours en apprendre plus. Durant ma jeunesse, les documentaires faisaient partie de mes activités hebdomadaires. J’adorais découvrir de nouveaux sujets et élargir mon domaine de connaissances. De plus, mes parents sont d’un milieu assez aisé donc je n’ai jamais manqué de rien. Surtout durant l’adolescence, je me suis très rapproché de mon père. Dans ma vie, j’ai toujours entrepris des relations d’amitiés avec des personnes qui partagent les mêmes centres d’intérêts que moi. J’ai déménagé deux fois donc mon cercle d’amis a souvent changé. Recréer des liens d’amitié a tout de même été assez facile, mais étant jeune, ça m’effrayait puisque j’avais peur du rejet. Je considère mes amis du secondaire comme une influence partiellement bonne puisque ceux-ci n’avaient pas l’école comme priorité donc ils m’incitaient souvent à sortir les soirs. Cependant, d’autres de mes amis sont très entreprenants. Ils m’amènent donc à me surpasser en me présentant des défis.

Analyse de la première théorie

L’ensemble qui, selon moi, me représente le plus est l’introversion. En effet, je crois que cet aspect s’est particulièrement développé au secondaire. La façon dont les autres me percevaient ne me dérangeait pas trop. Je faisais ce que je voulais faire sans m’empêcher du jugement des autres. De plus, dans les travaux d’équipe, j’étais celui qui faisait le travail demandé très sérieusement en m’isolant du reste de mon équipe puisque j’aimais souvent travailler seul. Cependant, j’écoute toujours le point de vue des autres. De plus, au secondaire j’étais aucunement influençable par mes pairs. Par exemple, mes amis du secondaire prenaient régulièrement de la marijuana et essayaient de me faire fumer. Mon idée était déjà faite face à la drogue, je n’en prendrai pas puisque c’est nocif pour le cerveau. Souvent mes amis me poussaient à en prendre en me disant que j’étais peureux. Ce qu’il pensait de moi ne m’importait aucunement, puisque je sais ce qui est bon pour moi. Dans mes relations d’amitié, je ne me suis jamais investi émotionnellement. En effet, je ne parle jamais de mes sentiments à personne, même avec ma copine. Pour moi, le gens ne sont pas obligés de connaître mes sentiments puisque je ne veux pas leur imposer mes sentiments et ce n’est pas important que je leur dise. Je suis capable de me débrouiller moi-même avec ce que je ressens. De plus, la compagnie ne m’a jamais vraiment intéressé, surtout depuis le début du Cégep. J’aime être seul puisque lorsque je suis avec mes amis les plus proches, je me sens pris avec eux quelques fois, j’aurais juste le goût de partir. De plus, mes objectifs sont fixés depuis déjà très longtemps et ils ne peuvent être changés même si une personne quelconque me dit le contraire ou essaie de m’influencer à changer mes idées. En effet, certains diront que j’ai « une tête de cochon » puisque malgré les conseils, je fais ce que je pense bien pour moi selon mes valeurs.

Le deuxième ensemble qui me ressemble le plus est le conformiste. Encore une fois, cet aspect s’est beaucoup développé au secondaire. En effet, lors des travaux d’équipe, j’insistais pour que les membres de mon équipe me laissent faire le travail puisque j’avais beaucoup confiance en mes moyens et je ne faisais pas confiance aux habiletés intellectuelles de mes coéquipiers. Faire le travail au complet me permettait d’utiliser ma façon puisque c’était la meilleure. Lorsqu’une personne utilise une autre technique que la mienne, quelque chose vient me chercher à l’intérieur et je ne peux m’empêcher de faire part de ma technique. Je travaille en restauration comme cuisinier et ma façon de faire est selon moi, la meilleure. L’organisation est requise pour faire ce métier, puisque chacun doit être très coordonné. Je suis souvent celui qui dirige les personnes et le travail n’est jamais mieux fait si c’est moi qui s’en occupe. De plus, je suis très exigent avec moi-même, surtout à l’école. Je vise toujours la perfection et j’essaie toujours de faire de mon mieux. J’ai des attentes très élevées envers moi-même.

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