L'auto-coaching
Dissertation : L'auto-coaching. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Epouses Duret • 15 Novembre 2017 • Dissertation • 2 678 Mots (11 Pages) • 1 008 Vues
Suite à l’étude de ce module, je pense être quelqu’un qui se connait bien. À partir de mon auto-bilan je me considère essentiellement heureuse. Bien sûr j’ai, comme toute personne normale, des hauts et des bas dans ma vie, mais je les gère bien.
Dans le plan de la santé, j’ai eu des périodes difficiles car j’ai eu deux cancers et une sclérose en plaques. C’est drôle de savoir que ces maladies ont été des cris du corps pour que je me libère de plusieurs schémas de pensées et de plusieurs blocages.
J’ai très vite compris et conscientisé ces maladies et je ne me suis jamais laissée allée par des lamentations ou de l’auto-commisération. Je me suis vite battue contre ces crabes et je les ai vaincus.
La sclérose m’a atteint de plein fouet lors de ma trente deuxième année. Je connaissais déjà les causes de cette nouvelle maladie et j’ai réussi avec le temps et des traitements de médecines douces, à me défaire de tous symptômes liés à ce mal. Cette période de presque 4 ans, m’a été d’une grande leçon de vie. Vivre dans un fauteuil roulant nous enseigne beaucoup de choses et ça aide à se remettre en cause sur tous points de vue.
J’ai appris à me connaître, à connaître mes qualités.
J’ai enfin compris que j’étais pleine de générosité, patiente, enthousiaste, positive, altruiste. J’ai appris à être à l’écoute des autres et de m’adapter aux situations diverses.
Aujourd’hui j’ai une santé de fer et je me sens parfaitement bien. Je suis heureuse d’avoir grandi avec cette expérience et d’aider d’autres personnes à ne jamais perdre l’espoir de jours meilleurs. Je ne connais ni stress, ni mal-être et je sais que je suis un être privilégié dans ce monde où tant de gens se sentent si mal. J’ai aujourd’hui une philosophie de vie qui me facilite le lâcher prise et me permet d’accepter la plupart des tracas, des aléas de la vie et de la santé avec une vision positive. Je suis conforté de voir dans ce module que c’est un principe de base pour une bonne hygiène mentale. Sans le savoir, instinctivement, je le pratiquais déjà.
Je suis mariée et je suis très heureuse en mariage. Nous sommes deux femmes respectées et appréciées par notre entourage et nous avons de bons amis que nous voyons le plus souvent possible. Je n’ai donc pas grand-chose à dire à ce sujet car du point de vue relationnel je suis heureuse.
En ce qui concerne ma carrière professionnelle, j’ai travaillé dans une clinique privé pendant près de huit ans et j’étais responsable des traitements d’hydrothérapie du colon. La maladie m’a obligé d’arrêter ma profession pendant quelques années.
En 2015, suite à mon rétablissement, j’ai suivi une formation complète de Bioénergéticienne où j’ai obtenue avec succès, un certificat professionnel. À la fin de cette formation, j’ai décidé d’ouvrir mon propre cabinet de consultations pour pouvoir aider d’autres personnes à guérir des maux qui les accablent d’une façon plus ample de ce que je faisais auparavant.
J’ai donc un travail qui me satisfait et qui me comble.
Parmi les cinq secteurs, celui de ma situation financière sera, peut-être, à travailler plus particulièrement. Mais nous en parlerons davantage dans la question suivante.
En étudiant ce premier module de coaching, j’ai appris plusieurs choses. Mais je dois être sincère, je n’ai pas vraiment beaucoup changé.
Mon parcours de vie n’est certes pas long car je n’ai que quarante deux ans, mais j’ai parfois l’impression d’avoir déjà eu deux ou trois vie condensé dans celle-ci. Ma vision du monde et mon approche de vie est aujourd’hui très ressemblante à ce qu’elle doit être selon ce que j’ai lu dans le fascicule.
Pour en être certaine, j’ai demandé à mes proches ce qu’ils pensaient de moi et je dois humblement reconnaître que les éloges de tous confirment ce que je déclare plus haut.
Ils ont aussi affirmé que les pires de mes défauts étaient l’entêtement et la susceptibilité.
Si l'erreur n'est pas un crime, l'entêtement peut le devenir, et ma susceptibilité est révélatrice de mon perfectionnisme.
Je veux toujours bien faire et je n’aime pas les échecs.
Je vis mal avec l’échec.
Il faut toujours que je sache bien faire et je ne m’octrois pas beaucoup de marges, alors je m’entête à vouloir savoir comment, ou, pourquoi…
Je dois apprendre à vivre et dépasser ses points de faiblesses et apprendre à rebondir.
J’ai fait une analyse de mes émotions lorsque je suis confronté à un échec. Les plus marquant sont la déception, la tristesse et parfois de la colère vis-à-vis de moi-même. Je me sens diminuée, faible, bête… Je me sens responsable de l’échec en question.
Je dois donc adopter une nouvelle façon de voir ces défaites et mettre en place une stratégie de rebondissement.
- Tout d’abord, je dois accepter que les adversités et les revers touchent tous le monde et que je ne suis ni la première ni la dernière à être touchée par l’insuccès.
- Je dois opter pour le même raisonnement que je possède déjà vis-à-vis de la maladie, c'est-à-dire le lâcher prise pour éviter toute souffrance.
- Une fois ces deux aspects bien ancrés dans mon mental, il me sera plus facile de rebondir et de retenter l’expérience jusqu’à ce que j’arrive à mon but, tout en sachant mesurer mes limites préalablement.
La grande leçon du module d’auto-coaching en ce qui me concerne est celle-ci :
Sers-toi de tes défauts et de tes points de faiblesses !
Utilise-les, non pas comme des pierres d’achoppements,
Mais comme des pierres de fortunes et d’élévation
Qui t’aiderons à mieux voir l’horizon lointain et l’objectif final.
-2-
“L’argent coûte souvent trop cher” disait Ralph Waldo Emerson (philosophe et poète américain). Et il avait raison !
Nous vendons 8 heures de notre vie chaque jour à notre patron ou à notre client.
Pourquoi ? Pour qui ? Est-ce vraiment nécessaire ?
L’argent est-il vraiment une sécurité ?
Pourquoi ai-je si peur de manquer d’argent, alors que j’ai un rapport normal avec celui-ci ?
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