Résumé de l’extrait “Le phénomène bureaucratique”, M. Crozier, Points Seuil 1963
Commentaire de texte : Résumé de l’extrait “Le phénomène bureaucratique”, M. Crozier, Points Seuil 1963. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar bibi12345 • 12 Mars 2016 • Commentaire de texte • 384 Mots (2 Pages) • 2 280 Vues
Résumé de l’extrait “Le phénomène bureaucratique”, M. Crozier, Points Seuil 1963
Dans l’extrait proposé, Crozier reviens sur la théorie tiré de son analyse sur les organisations affectées du vice bureaucratique.
Il commence par remettre en cause la vision bureaucratique des conservateurs et des révolutionnaires qu’il voit comme contraignante et très hiérarchisé. Il s’attaque ensuite à Max Weber et son analyse de la bureaucratie prussienne en montrant que plus ce modele est appliqué moins l’organisation est efficace. En donnant la définition qu’il nomme “grand public” de la bureaucratie et qu’il décrit comme non conforme à une vision avenir, Crozier lève le voile sur un leg paralysant et une vision étroite de l’organisation qui serait la cause de l’échec de se modele. Il parle ici des relations humaines et des jeux de pouvoir, qui sont selon lui, d’une importance majeur au yeux de chaque individus qui vont toujours chercher à prouver leur indispensabilté au sein de la hiérarchie même s’ils se trouvent au plus bas de celle-ci. Il en vient alors à donner une définition de l’organisation comme un ensemble complexe de jeux entrecroisés et interdépendants entre les individus, qu’il décrit ensuite comme déséquilibrés ce qui serait selon lui à l’origine de l’inefficacité des organisations en apparences les plus rationnelles.
Crozier nuance alors ces propos en abordant les organisations modernes où selon lui un équilibre est entrain de ce créer grâce notamment à la communication entre les individus. Cet équilibre reste fragile car d’après son analyse ce modele est très éprouvant pour les individus et créer parfois des tensions psychologiques. Il faudrait donc que les individus acquièrent de nouvelles capacités pour pouvoir s’adapter. Et c’est ici qu’il fait intervenir la dimension culturelle de chacun qui selon lui est la base de tout individu, donc le frein et la contrainte la plus importante à tout changement.
On à souvent au cours de l’histoire essayé de faire changer le comportement des individus généralement sans obtenir de succès flagrant. Y a t-il donc d’autres moyens que de jouer sur la culture des individus pour rendre le changement plus facile?
Crozier s’attaque à Max Weber et remet en cause l’une de ses théories n’est-ce pas un peu risqué vu la reconnaissance de ses travaux aux yeux de tous?
La communication est souvent abordé dans les problèmes d’organisation mais est-ce le seul objet de se dysfonctionnement?
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