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Psychologie Generale

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Par   •  29 Avril 2015  •  774 Mots (4 Pages)  •  9 794 Vues

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Devoir n°3 Psychologie générale

Question 1 /

L’introspection se définit comme l’étude de la conscience par elle-même. Autrement dit, il s’agit d’une observation intérieure de moi par moi-même, au travers de ma propre conscience.

Cependant, cette méthode reste critiquée dans le sens où, selon certains, Bergson par exemple, l’introspection ne peut représenter une observation exacte puisque le sujet, c'est-à-dire celui qui observe et l’objet, c'est-à-dire ce qui est observé ne sont pas distincts mais forment une seule et même personne.

Question 2/

La conjecture se définit comme une opinion fondée sur des probabilités, des apparences. On pourrait en conclure, tout comme Montaigne, que cette opinion est incertaine.

En effet, comme le dit la célèbre expression « l’habit ne fait pas le moine » on ne peut pas connaître quelqu’un de façon profonde uniquement en se basant sur des apparences et encore moins sur des probabilités puisque nous sommes tous des êtres uniques.

Question 3/

Le souvenir est plus pauvre que ce qui a été vécu dans le sens où il perd en qualité, en précision puisque tout souvenir peut être déformé, incomplet, faussé et ainsi la certitude qui en découle n’est plus garantie.

Paradoxalement, il est aussi plus riche que ce qui a été vécu puisqu’on peut s’y reporter sans cesse dans ce que nous vivons ensuite.

Autrement dit, la rétrospection, c'est-à-dire le fait de regarder dans le passé vaudrait mieux que l’introspection puisque le souvenir permettrait une distinction entre le sujet et l’objet, entre l’attitude d’observation et ce qui est regarder puisque l’objet représente un fait accomplit ne pouvant être modifier par le sujet.

Question 4/

L’analogie est de connaitre autrui par rapport à moi-même. C’est de connaitre l’attitude des autres par mes propres expériences.

Si mon ami est nerveux, je saurai qu’il est stressé car je sais par expérience que je suis nerveux quand je suis stressée.

Question 5/

Scheler considère que la vraie pitié envers les autres, s’exprime par le fait que je ne suis pas dans la même souffrance, et dans la même misère. Si je suis dans la même souffrance, je serai moi-même objet de pitié.

Question 6/

C’est assez difficile de se prononcer, dans un sens je suis d’accord avec Scheler, que je deviens objet de pitié si je suis dans la même souffrance, mais je ne pense pas au contraire que la pitié est le fait de ne pas être dans la même situation. Si on remplace la pitié par un synonyme comme la compassion, qui signifie« souffrir avec » en latin. J’en conclu donc que pour souffrir avec une autre personne, il faut vivre le même sentiment.

Question 7/

Watson compare dans son étude du béhaviorisme, compare les êtres humains aux animaux. Qui selon lui pourrait avoir les mêmes réactions observables lorsqu'un

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