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Les trois principales catégories de transmetteurs synaptiques

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Par   •  21 Décembre 2014  •  2 956 Mots (12 Pages)  •  797 Vues

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1- Il y a trois principales catégories de transmetteurs synaptiques : les acides aminés (glutamate, aspartate), les monoamines (acétylcholine, dopamine, adrénaline, etc.), et les peptides (vasopressine, ocytocine, substance P, polypeptide, etc.) p.43-46

2- Les cerveaux des animaux présentent d’importantes différences selon l’environnement dans lequel ils ont été élevés. Chez les rats ayant été élevés dans un environnement riche, on peut observer un cortex cérébral plus épais, plus d’épines dendritiques sur les neurones corticaux, une plus grande ramification dendritique et plus de sites de sécrétion d’acétylcholine sur les neurones. p.79

3- Le colliculus supérieur sert de station de relais et intègre l’information servant à s’orienter dans l’espace. Le noyau géniculé latéral, lui, se spécialise dans le relais et le traitement de l’information visuelle. Par contre, les deux parties conservent la cartographie rétinienne. Elles sont ainsi des voies parallèles dans le traitement de l’information visuelle. p. 354, 360, 100

4- Le système limbique comporte quatre composantes : l’amygdale, l’hippocampe, les noyaux gris centraux et le septum. p 22

5- L’hypophyse et l’hippocampe ont chacun leur rôle dans le système endocrinien. L’hypophyse reçoit les messages de l’hippocampe et envoie ces messages au reste du système endocrinien qu’elle contrôle. p 149-152

6- La névroglie se compose de cellules de soutien spécialisées qui sont dans l’espace entre les cellules nerveuses et leurs circuits. p. 48

7- La dépression est une maladie qui se caractérise par des émotions anormalement intenses et prolongées. Il existe deux types de dépression : psychotique et névrotique qui se distinguent par des symptômes opposés. Par exemple, une personne en dépression psychotique a tendance à avoir des troubles de fonctionnement quotidien le matin, se réveille au bout de seulement quelques heure de sommeil, perd du poids, éprouve des remords ou de la culpabilité, etc. tandis qu’une personne en dépression névrotique a tendance à avoir des troubles de fonctionnement quotidien en après-midi, a de la difficulté à s’endormir, prend du poids, s’apitoie sur elle-même, etc. p. 330-332

8- La régulation à long terme de la consommation de nourriture est contrôlée par la perception qu’a le cerveau des réserves de graisses corporelles en se servant de l’insuline pour lui indiquer l’état de ces réserves tandis que la régulation à court terme dépend des hormones digestives telles les peptides intestinaux. p.158

9- Les microtubules servent de supports aidant à maintenir la forme du neurone et à transporter des substances du soma vers l’axone ou les dendrites et vice-versa. p. 35

10- La tonalité d’un son est déterminée par l’endroit de la membrane basilaire où le gonflement est le plus gros. La force est déterminée par la taille et l’expansion de ce gonflement. p. 119

11- Grâce à la lentille Z, Zaidel découvrit que l’hémisphère droit pouvait comprendre plus de mots et plus de choses au sujet de ces mots qu’on ne l’avait cru. Les résultats obtenus précédemment avaient indiqué qu’il pouvait comprendre les substantifs et non les verbes mais cette distinction n’est pas valable : les verbes prennent simplement un peu plus de temps à être traités. L’hémisphère droit possède des aptitudes de compréhension sommaire du langage, mais il n’est pas en mesure de produire la parole. p. 289

12- Les vésicules synaptiques sont de minuscules vessies d’entreposage qui emmagasinent les molécules neurotransmetteurs sécrétées par le neurone. p. 35

13- p. 93

sens Niveau primaire Niveau secondaire Niveau tertiaire

Vision rétine Noyau géniculé latéral, colliculus supérieur, hypothalamus Cortex visuel primaire, cortex visuel secondaire

ouïe Noyaux cochléaires Noyaux géniculés médians colliculaires et lemniscaux Cortex auditif primaire

équilibre Noyaux vestibulaires Thalamus, moelle épinière, noyaux oculomoteurs, tronc cérébral, cervelet Cortex somatosensoriel

toucher Moelle épinière ou tronc cérébral thalamus Cortex somatosensoriel

odorat Bulbe olfactif Cortex piriforme Système limbique, hypothalamus

goût Bulbe rachidien thalamus Cortex somatosensoriel

14- Afin de réduire l’anxiété, nous nous servons de tranquillisants tels le valium, une benzodiazépine qui fonctionnerait en favorisant l’efficacité du neurotransmetteur GABA. p. 232

15- Le liquide céphalorachidien se trouve à l’intérieur des ventricules du cerveau et du canal central de la moelle épinière. Il s’associe aux méninges afin de jouer le rôle d’amortisseur pour le cerveau et la moelle épinière. p. 358

16- Il y a plusieurs types d’amnésie. En voici quatre :

a. Amnésie due à un problème de transfert de mémoire. Le patient se souvient d’événements ayant eu lieu plusieurs années auparavant, mais il est incapable de former de nouveaux souvenirs puisque le transfert de ses souvenirs déclaratifs vers sa mémoire à long terme ne s’effectue pas. Il peut par contre apprendre comment faire des choses. Cette amnésie est le résultat de l’ablation de parties de l’hippocampe at des amygdales. p.262

b. Un patient ayant subi une blessure au noyau dorsomédian gauche du thalamus se souvient d’événements ayant eu lieu avant cette blessure mais il est incapable d’apprendre quelque chose de nouveau, surtout en ce qui a trait à l’apprentissage verbal. Il oublie rapidement des listes de mots et les phrases associées. Par contre, il éprouve moins de difficulté à se souvenir des visages et des endroits. p.262

c. Il existe un type d’amnésie spécifique aux gens alcooliques chroniques qui ont une carence en vitamine B1 : le syndrome de Korsakoff. Les gens qui en souffrent ont des difficultés à former de nouveaux souvenirs et souffrent d’amnésie des événements qui se sont produits plus tôt dans leur vie. Ce type d’amnésie est habituellement progressif mais il peut être stoppé s’il a été découvert assez tôt par des doses massives de vitamine B1. p.263

d. L’amnésie par électrochocs. Ce type d’amnésie découle des traitements par électrochocs. L’amnésie que provoque chaque choc s’estompe jusqu’à un certain point, mais s’accumule au cours du traitement. Donc, plus celui-ci est long, plus il y a perte de mémoire.

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