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Par   •  25 Mai 2020  •  Cours  •  2 292 Mots (10 Pages)  •  559 Vues

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LET CM3

03/10/19

Freud – Les reconfigurations de la puberté dans les Trois essais. (1905).

Dans un premier temps il parle du primat des zones génitales, puis des problèmes de l’excitation sexuelle, et il parle de la théorie de la libido, puis de la différence sexuelle chez l’homme et la femme, et pour finir de la retrouvaille de l’objet.

Il explique que la puberté permet au corps d’arriver à un corps adulte, avant la puberté la sexualité était auto-érotique et sans but particulier, alors qu’après elle à un but sexuel. Les pulsions agissent ensemble, afin d’atteindre ce but, et la fonction génitale, ici, va prendre tout son sens.

En fonction du sexe, le développement sexuel n’est pas le même. L’homme et la femme se différencie. Pour Freud, le développement de l’homme est plus facile à comprendre, car chez lui le but sexuel c’est toujours le plaisir, et vient s’ajouter la fonction de reproduction.

Le but final du développement sexuel c’est d’arriver à l’acte sexuel. La puberté c’est la période où les organes génitaux se développe (assez rapidement) et va permettre la reproduction.

Freud évoque les préliminaires qu’il définit comme étant des stimuli. Pour lui, il existe 3 voies qui permettre d’arriver à un état d’excitation sexuel : la stimulation des zones érogènes, l’intérieur de l’organisme (par des voies encore a explorer), et en provenance de la vie d’âme (toujours interne). On reconnaît l’excitation sexuel par deux types de signes : animique ? et somatique.

Freud parle de la tension sexuelle : celle-ci se définit par l’excitation sexuelle. Mais on apprend qu’elle apporte du plaisir, mais elle apporte aussi du déplaisir car c’est un sentiment nouveau qui n’était pas présent avant.

Modifications psychique dû à la puberté, etc : plaisir quand même présent qui entraîne un sentiment de satisfactions. Les zones érogènes ont un rôle important pour déclencher l’excitation sexuelle (par exemple l’œil : stimulé par la beauté). La stimulation elle a un double rôle : elle provoque du plaisir et un accroissement de l’état d’excitation sexuel. Elle augmente encore plus quand une autre zone érogène est stimulée.

Par contre si ça cesse d’un coup, le déplaisir arrive : car pour Freud lorsqu’il y a du plaisir, il y a un besoin encore plus important qui est là et ça peut poser problème.

Freud parle aussi des mécanismes du plaisir préliminaire : donc le but principal c’est de donner assez d’énergie motrice afin d’amener l’acte sexuel à son terme. La stimulation des zones érogènes va entraîner la stimulation génitale, qui va mener à son intensité la plus élevée, selon Freud, pour conduire à l’acte final et donner un sentiment de satisfaction une fois terminé.

Dans un premier temps on parle de plaisir préliminaire, puis de plaisir terminal ou de satisfaction de l’activité sexuelle. Le plaisir préliminaire est similaire à celui de la pulsion sexuelle infantile, mais ici il y a des éléments nouveaux puisqu’il y a un but à la fin.

Freud parle des dangers des plaisirs préliminaires : avant la puberté, les zones génitales se comportent de la même manière qu’à l’époque de la maturité, elles deviennent le siège de sensations d’excitation et de modification préparatoire (qui n’ont pas encore le but de l’acte sexuel).

Les différences entre la vie sexuelle infantile et la vie sexuelle mature, ne sont pas aussi grande que l’on ne l’imagine.

Il va parler du problème de l’excitation sexuelle : l’acte sexuel entraîne la suppression des tensions. On comprend que le plaisir et les tensions sexuelles sont liées mais indirectement. Il va parler du rôle des substances sexuelles : il peut y avoir une sensation de plaisir (sans acte sexuel) qui est provoqué par la production, l’évolution des produits sexués qui est causé par l’hallucination (ce qui se passe dans la tête) dans l’acte sexuelle. Toutes ces choses peuvent être déréglées. Il dit que contrairement à l’homme, la femme, l’enfant et le castra, avant la puberté ils ne peuvent pas accumulé des produits sexués.

Valeur attribuée aux parties sexuelles internes : la maladie peut anéantir la production de produits sexué, mais laisse la libido indemne. L’homme castré avant la puberté, il peut perdre ses caractères sexués : par exemple, il ne va pas muer.

La théorie chimique : grâce à la science on peut transformer un mâle en femelle et inversement, du coup l’hypothèse de la curation de produits sexués est de moins en moins probable.

L’organe sexué ne serait pas le seul impliqué dans l’excitation sexuelle. Des parties dans le système nerveux central se charge de la tension sexuelle et des substances chimiques.

Théorie de la libido :

Cette théorie s’étale sur toute la vie de l’enfant, l’adolescent, l’adulte. Elle a une évolution au niveau du corps et du psychisme. Cette théorie se base juste sur le concept de tension de satisfaction. Par ex, à l’enfance on parle de l’auto-érotisme, où le but du plaisir serait via les zones érogènes.

On retrouve le développement libidinal dans cette théorie avec le passage du plaisir rechercher en lui-même (entre l’enfance et l’adolescence) au plaisir obtenu dans la relation à l’autre.

On voit plusieurs stades au niveau de l’enfance :

  • Stade oral → zone buccale érogène → allaitement, succion du pouce, etc. → retrouver un plaisir qui répond à sa libido.

  • Stade anal → contrôle sur son propre corps → l’enfant décide de se retenir car laisser partir ses selles s’est laisser une partie de lui-même. Quand il offre son caca à sa mère, il montre par la qu’il a su dominer une partie de lui-même et qu’il l’offre à l’être aimé (la mère ici).
  • Stade phallique → organes génitaux érogènes → à l’adolescence ceux-ci vont être différenciés selon le sexe. Pour l’homme on va parler d’angoisse de castration → détermine son développement. C’est à ce moment là, ce qui va témoigner de la bisexualité psychique. Alors que pour la femme ça reste encore très progressif (pour Freud, encore beaucoup d’étape chez la femme pour sa sexualité comparé à l’homme).

Période de latence → à ce moment là où on a un refoulement complet de l’intérêt sexuel → pour ça qu’à l’adolescence on a cette explosion du sexuel qui va avec les transformation physique et psychique.

Le stade génital : on passe d’un stade auto-érotique à un stade hétéro-érogène. On retrouve la pulsion partiel qui se passait qu’autour du génital et qui se détache des zones érogènes (toujours présentes) mais à la puberté c’est vraiment les parties génitales qui sont mises en avant.

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