Le groupe comme producteur de sens
Compte Rendu : Le groupe comme producteur de sens. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar cassandre34570 • 4 Mai 2014 • 4 846 Mots (20 Pages) • 931 Vues
CHAPITRE 5 le groupe comme producteur de sens
Dans les premières pages on nous raconte une histoire simple, pierre est réveillé pendant la nuit par son voisin creusant un trou. Au matin celui ci lui dit que sa famme l'a quitté sous pretexte qu'elle ne voulait pas de géranium dans son jardin.
Pierre en conclut de ce pas que son voisin a commit un meurtre tout ça en se basant sur un fait observé: le trou et un fait rapporté: le depart de la femme.
Il aurait pu penser à une infidélité. Sans les dires de son voisin pierre n'aurait pas pu penser à un meurtre et de ce fait il remet en cause les paroles de son voisin contrairement à si il pensé que c'était une infidélité.
L'inférence désigne les actions de mise en relation d'un ensemble de propositions, aboutissant à une démonstration de vérité, de fausseté ou de probabilité, sous la forme d'une proposition appelée conclusion.
Ici chaque conclusion a été établis à partir d'inférence différentes du à une interprétation différente des faits.
Par des inférences et des mises en rapport entre les éléments observés et inférés il peut enrichir un récit et le stabilisé.
1.2 Le contexte d'interprétation et d'action
C'est l'espace relationnel qui constitue le contexte et confère un sens différent aux éléments obervés ainsi qu'à leur position.
L'identité de chacun est structurée par sa position dans cet espace relationnel et façonne son mode de raisonnement, ses jugements, et ses évaluations ainsi que son mode d'action et d'interaction. Le type de relation définit et caractérise non seulement un contexte d'interprétation ( meurtre, adultère) mais aussi un contexte d'action ( téléphoner police, commerer).
LES QUATRE NIVEAUX DE MEDITATION
Pour apporter du sesn à ce que nous observons nous faisons fonctionner des processus cognitifs. Par rapport à tout ce que nous voyons tous les jours nous faisons des inférences, nous ancrons les éléments observés dans " quelque chose de connu" de là les éléments prennent du sens. Ce " quelque chose de connu" médiatise les éléments observés de ce fait notre pensée est orientée et notre façon de comprendre les éléments observés est régulée. Les stimuli sensoriel ne contiennent pas en soi leur sens: pas d'ontologie de l'obervable.
Problème par rapport à cette médiation: la façon de conceptualiser cette médiation, savoir si les éléments régulateurs sont dans la tête de l'individu, partagés distribués à plusieurs individus ? ou s'ils ont une existence propre et indépendante des individus qui les déploient.
2.1 La méditation est dans la tête des individus
Pour certains chercheurs: socialisation de l'individu , ses expériences ... lui ont permis d'acquérir des théories telles que représentations mentales, schèmes cognitifs qui lui permettent de percevoir et de comprendre le monde et d'interagir avec lui.
Pour certains auteurs comme Schank et Abelson ( 1977) le script rappelle les évènements, les intentions et les comportements qui conviennent à la situation présente. script= canevas préetablis qui donne des règles de pensée et de conduite.
L'individu est auto suffisant pour s'orienter dans certaines situations: commande restaurant, séduire jeune homme.
2.2 La médiation est portée par le groupe
A cette vision d'un individu solitaire, s'opposent les approches des niveaux
interindividuel: ici homme en interaction avec autrui, interagissent au sein d'une même culturepour construire leur connaissance du monde. Leurs connaissances ne sont pas possession mais émanent d'une mise en commun de leurs ressources, de leur communication. Donc les significations des mots ne se trouvent pas juste dans la tête de l'individu mais sont produites par l'interaction.
Dans un rapport avec autrui, les connaissances viennent d'une mise en commun de leurs ressources, de leur communication. La signification des mots est produite par l'interaction et non pas seulement par la pensée de l'un deux.
positionnel:insertion des individus dans des rapports sociaux spécifiques ce qu'il n'y a pas en haut. Exemple enfant par rapport aux parents donc leur positionnement respectif par rapport à l'objet détermine le type de lien qui les relie entre eux. Selon le positonnement, les conduites, interprétations ne sont pas les mêmes ( si je dois expliquer problème perso à un copain ou un enseignant) -> Gosling 1997
Selon la position hiérarchique ou égalitaire les explications vont être différentes comme si on obéissait à d'autres codes ou règles qui sont selon les psychologues des normes, des valeurs qui régulent les conduites, les interactions dans un espace. Donc les individus si ils réalisent des procédures ( gestes, pensées) suivent des codes ou règles qui s'applique à l'espace relationnel dans lequel ils se trouvent: la famille, l'école... soit règles tacites ( café entre amis) ou règle imposées.
Ces règles ont été élaborées par un groupe de gens dans le but de réguler leur vie en commun. La construction de ces règles fait partie de l'histoire de ce groupe et en constituent le ciment.
2.3 Les supports de la médiation
Toutes ces règles sont dans des livres de savoir vivre: dans l'espace relationnel du médecin et du malade règles dans doctrine hippocratique. Dans ces livres il est dit ce qu'il convient de faire, de penser à l'intérieur d'un contexte donné. Ce qu'il faut faire est sans cesse rappelé à notre esprit par des rituels, la sagesse parent, enseignant. Les lieux ex école rappelle la hierarchie entre un élève et son enseignant et des règles. Son rapport au savoir est médiatisé par cette relation asymétrique.
Donc très important pour une personne de reconnaitre son positionnement dans un contexte et un espace relationnel donné pour savoir comment penser et agir.
3. Théorie et sens commun
Dans la vie quotidienne l'individu a bien appris à réaliser un certain nombre de procédures selon des règles qui gouvernent les espaces relationnels dans lesquels il est inséré ( ex appris à respecter code de la route, se laver les dents)
Il
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