L'utilisation de la méthode Freinet dans l'école idéale
Analyse sectorielle : L'utilisation de la méthode Freinet dans l'école idéale. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar leledu83160 • 15 Février 2015 • Analyse sectorielle • 1 416 Mots (6 Pages) • 1 022 Vues
De nos jours l’école est de moins en moins appréciée par les enfants, mais pourquoi cela ? Si certaines écoles mettent en place des méthodes de travail et des techniques de pédagogie particulières et spécifiques en place, la plupart des écoles utilisant des méthodes conventionnelles (éducation nationale). Ces techniques mettent en avant le savoir du professeur qui se doit de l’inculquer, avec des méthodes déjà préconçues, à tous les élèves d’une même classe. Pour laisser place à une école dite « idéale », en définissant idéale comme ce que nous souhaitons atteindre et qui nous donnerait entière satisfaction, un modèle de perfection ; bien des choses seraient à revoir en les comparants avec nos écoles publiques actuelles. Je commencerais par l’aspect visuel de l’édifice qui pour moi à son importance. Tout d’abord il me semblerait plus libérateur d’utiliser le moins possible les lumières artificielles et donc d’exploiter à son maximum la lumière naturelle du soleil, la vision du ciel et de ce qui entoure l’école au maximum pour se sentir au plus proche de la nature et des éléments, en conséquences l’école idéale à mon sens, serait pratiquement entièrement vitrée. D’après des études américaines, nous avons tendance à devenir plus stressé, moins heureux et plus renfermé lorsque nous passons de longues heures sous les lumières artificielles. La lumière naturelle est même considérée par certains médecins comme étant un remède naturel contre certains troubles nerveux (dépressions,…)Alors, pour remédier à ce problème, pourquoi ne pas profiter de ce que le soleil peut nous offrir à longueur de journée et ainsi être plus heureux dans le lieu où les plus petits passent une grosse partie de leur journée. L’école serait de plein pied et n’aurait pas d’étage pour faciliter l’accès aux personnes handicapées. Les salles seraient vastes et aérées pour donner une sensation de grandeur et de liberté, la majeure partie des salles seraient également vitrées. Les couleurs des salles de classes seraient faites par et pour les élèves pour les inclure à l’existence du collège. Les couleurs seraient chaudes et claires comme des verts, jaunes, oranges ou roses pales. Ces couleurs faisant référence pour le vert à l’estime de soi, le besoin d’être reconnu et considéré par les autres, dans ce sens il prend valeur d’échange ou de désir de communication, sur le plan psychologique selon Max Luscher, il représente la volonté dans l’action, la persévérance et la ténacité. Le jaune est synonyme de lumière, de joie et d’optimisme, il est le symbole de rayonnement et d’ouverture et montre un désir de participation ou la volonté d’aller de l’avant. L’orange est une couleur de vitalité, d’extraversion et de désir de réussite. Elle exprime la joie, la gaieté et le dynamisme. Le rose est une couleur qui signifie la paix, l’équilibre et l’harmonie, elle contient du rouge atténué et représente l’harmonie donc l’affectivité mais dénué de la passion ou de l’agressivité du rouge, on y trouve surtout la marque de la tendresse et de la douceur.
La nature entourerait l’établissement et des nappes de verdure seraient introduites à l’intérieur de l’école pouvant servir à des activités en plein air. Ces aspects beaucoup moins réglementés et moins emprisonnant comparé aux établissements réels, seraient moins source d’angoisse et de restriction à l’imaginaire et à la créativité de l’enfant. Un autre aspect beaucoup plus profond qu’il faudrait modifier pour avoir une école idéale serait le déroulement, le fonctionnement et l’apprentissage en lui-même. Si dans les écoles actuelles les méthodes ne sont pas accès sur l’échange d’opinion ou le développement à part entière de chaque élève un à un et pour ce qu’il est et ce qu’il aime vraiment dans une école idéale ces axes seraient des points fondamentaux. Le but premier étant censément le développement et l’évolution de l’enfant, celui-ci devrait être au centre du fonctionnement ce qui est loin d’être le cas dans les écoles actuelles où le programme et son avancé dirige la méthode d’apprentissage et la pédagogie. Comme l’a fait Célestin Freinet, instituteur de formation qui créa des outils pédagogiques visant à faire progresser et grandir un à un chaque élève en utilisant une méthode de travail originale favorisant le travail entre pairs, les élèves corrigent leurs devoirs
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