L'intelligence De L'homme Est-elle Supérieur à Celle De L'homme
Dissertations Gratuits : L'intelligence De L'homme Est-elle Supérieur à Celle De L'homme. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Mrdieez • 23 Février 2014 • 406 Mots (2 Pages) • 1 260 Vues
La plus connue de ces convergences et la complémentarité des organes génitaux de l'homme et de la femme. Ils sont faits de telle sorte qu'ils puissent s'unir par pénétration de l'organe sexuel de l'homme dans celui de la femme. Cette complémentarité biologique est au fondement de la reproduction humaine. Dans la plupart des sociétés humaines, elle est un des fondements de l'organisation sociale.
La différence sexuelle complémentaire de l'homme et de la femme est la caractéristique de leur interaction commune que l'on retrouve sous diverses formes dans toutes les espèces sexuées. Mais la possibilité biologique n'aurait guère d'intérêt si elle ne suscitait pas pour l'homme comme pour la femme un attrait intense : le plaisir sexuel mutuel. Ce plaisir ne se «voit» pas dans l'observation scientifique des organes, mais explique le rôle, par exemple, des nombreuses terminaisons nerveuses que l'on trouve dans les organes génitaux et donc le lien qu'il peut y avoir entre la sexualité et le cerveau pour l'homme comme pour la femme. Des composantes hormonales entrent également en jeu dans le plaisir.
Le plaisir intense ressenti généralement par la femme et par l'homme pendant l'accouplement est un moteur essentiel des relations humaines et de la reproduction humaine. Ce plaisir est une constante dans toutes les cultures à travers les âges. Il est si intense qu'il est souvent un but en soi, «oubliant» ses conséquences : l'enfant éventuel. Ce plaisir est si intense qu'il est aussi redouté. De nombreux interdits, dans la plupart des sociétés, essayent de le canaliser pour qu'il reste une force de cohésion sociale et ne soit pas un facteur de désordre aux yeux d'un certaine vision de l'ordre social. Généralement il s'agit de préserver les conceptions de la famille, monogame ou polygame selon les cultures. Ce danger du plaisir a même conduit certaines cultures à des mutilations partielles des organes génitaux, notamment l'excision des femmes.
Ce plaisir est néanmoins dissociable de l'accouplement (c'est le cas chez d'autres mammifères). La notion de plaisir étant subjective, il est impossible de déterminer objectivement si ce plaisir est le même quand il est associé à d'autres comportements. Dans d'autres comportements, la sexualité élimine avec certitude la dimension de la reproduction. Cela a-t-il un impact sur le plaisir ressenti ? Beaucoup de femmes, de toutes cultures, reconnaissent qu'elles ont un plus grand plaisir lorsqu'elles accomplissent un acte sexuel au moment de l'ovulation. L'expérience hétérosexuelle semble confirmer que plus la femme ressent du plaisir plus l'homme le ressent également.
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