L'obéissance est le fondement de la société exemple : on apprend aux enfants à traverser aux passages piétons
Cours : L'obéissance est le fondement de la société exemple : on apprend aux enfants à traverser aux passages piétons. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar eloise.helfer • 28 Septembre 2020 • Cours • 379 Mots (2 Pages) • 1 148 Vues
Intro : l’obéissance est le fondement de la société exemple : on apprend aux enfants à traverser aux passages piétons.
Stanley Milgram était un philosophe américain qui étudia à Yales. Sa spécialité était la phycologie sociale (qui étudie le comportement des individus en société). L’hypothèse de la psychologie sociale est que la situation dans laquelle l’individu est, est plus importante que son propre caractère. Selon la situation, on peut tout obtenir d’un individu.
Les sources d’inspirations de Milgram ont été :
- La secondaire guerre mondiale : comment des individus ordinaires ont-ils pu mettre en œuvre l’extermination de masse.
- Le livre d’Hanna Harent sur Eichmann et la banalité du mal. Eichmann était un lieutenant-colonel SS chargé du transport sous le III Reich. En 1945, il s’échappe et s’enfuie en Argentine, en 1960, il est retrouvé par la maussade (service secret), son procès à lieu en 1961 à Jérusalem. Durant son procès, le procureur le décrit comme un monstre inhumain. A l’inverse Harent le définit comme un personnage ordinaire, avec un langage stéréotypé sans conscience.
- Les expériences de Salamon Ash sur le conformisme.
Le but de l’expérience est d’observer les mécanismes de l’obéissance : jusqu’à ou un sujet peut-il aller sous les ordres d’une autorité jugée comme légitime.
L’expérience prends 3 personnes : XYZ. X= le sujet dont on teste l’obéissance, Y= l‘autorité et Z= la victime (acteur).
Le principe de l’expérience est que le sujet envoie des décharges électriques à chaque erreur de la victime. Le niveau de réaction de la victime passe de : cris légers, à hurlement jusqu’aux silence. L’expérience agit comme un piège, + la victime avance, + il est difficile d’arrêter. Le langage corporel des sujets témoigne de leur malaise. Ils ont des tiques, des rires nerveux. Pour se sortir du piège, les sujets développe des stratégies : le rire (évacue la tension), la triche (apaise sa culpabilité) et la débandade (évite les cris de la victime, et parle sur les cris de la victime). Ces stratégies ne font qu’augmenter l’obéissance. En 1960, il y a 71% des gens qui sont capables d’envoyer une décharge électriques mortelles et 81% dans le cadre d’un jeu téléviser dans les années 20eme. L’image de soi est un des facteurs de l’obéissance.
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