Introduction au Néo-libéralisme
Dissertation : Introduction au Néo-libéralisme. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Quentin Pichard • 15 Février 2018 • Dissertation • 848 Mots (4 Pages) • 483 Vues
Introduction au néo-libéralisme sur base de témoignages de libéraux Suisse.
(Was heisst denn heute liberal? Editions Neue Zürcher Zeitung)
Aujourd’hui, 'on croit que le libéralisme est la source des maux de notre temps; comme si les pères fondateurs du libéralisme étaient responsable des dérives du capitalisme dans le domaine de la finance notamment. Il ne faut tout de même pas oublier que le libéralisme est devenus le bouc émissaire d’aujourd’hui à l’image de ce qu’était le communisme il n'a pas si longtemps.
Si tout de même il naît au début du 19ème siècle avec Hegel et les premiers socialiste, il est dorénavant une doctrine des politiciens jugés de droite.
Aujourd’hui il est difficile de définir clairement ce qu’est le néo-libéralisme mais, proposons des pistes et des routes d’accès :
- Ce qui est indéniable c’est qu’on lui doit la démocratie, le libre commerce et de mœurs. Le libéralisme cherche avant tout l’épanouissement de l’individu et s’en prend à toutes contraintes que l'on fait peser sur lui. Ils s’accordent à prendre comme limites là ou se trouvent les réalités sociales. C’est pourquoi la tolérance ainsi que respect sont des conditions sine qua non à la liberté
- D’abord, le rôle de l’état doit être moindre car qui connaît le mieux le sens du “bien commun” (si un tant soit peu il est définissable) que l’individu lui-même.
- Réglementation et taxation sont souvent considérées comme des freins aux libertés individuelles. D’autres libéraux plus classique estime que pour le bon fonctionnement de la société il faut défendre les institutions issues du droit naturel (les libéraux ont par tout temps essayé de répondre à la question du “droit naturel”, mais nous pouvons essayer d'en donner une vision. Selon nous il s’agit de l’ensemble des droits qui découlent de l’appartenance de l’homme à l’humanité et non pas de l’homme appartenant à une société. La liberté, l’égalité et le droit de propriété en sont des composantes).
les progressistes planchent davantage sur la protection et la réalisation des droits individuels et préfèrent les options que le marché distingue au détriment des institutions traditionnelles. Les libéraux s’accordent tout de même sur le fait que le libéralisme soutient l’idée du rôle secondaire de l’état et de la loi.
- Il réfute aussi les solutions dites artificielle à la compréhension des relations qui existent au sein d’une société ainsi qu'à l’anticipation des conséquences d'une action généralisée et imposée par l’état. L’individu au centre, c’est tout. Aujourd’hui, on peut présenter le libéralisme sous forme d’une ligne dont il y aurait aux extrémités le socialisme ainsi que le conservatisme et en son centre se trouverait le libéralisme et donc nait l’équilibre libéral
- Ils s’accordent tout de même sur le fait que l’éradication de la pauvreté est une pro motion de la liberté, que la prospérité permet une politique de redistribution et que l’éducation est le meilleur système social.
Remarquez que le libéral est accusé comme quelqu’un qui a une certaine froideur sociale, nul doute que les Réformateurs l’étaient aussi.
En effet, l'économie de marché est considérée par beaucoup comme antisocial et injuste.
Il est vrai qu’il est inconcevable pour un libéral de parler de justice sociale; Ils reprennent souvent les dires de Hayek qui disait que le seul concept de justice qui a une signification est la justice au sens juridique du terme.
Le courant des Lumières est un courant dit universel qui défendait la liberté de l’individu, le respect de la personne, la reconnaissance des identités et des différences, la responsabilité, la créativité et l’esprit d’initiative et comme source de progrès économie, le progrès de l’homme.
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