La protection des fonds marins : Programme des Nations Unies pour l’environnement / ’anthropocène

Le Programme des Nations Unies pour l’environnement,

Réaffirmant le fait que le réchauffement climatique à débuter il y a 180ans et touche grandement les océans, qui couvrent environ 70% de la surface du globe, ainsi que leur biodiversité.

Réaffirmant le fait que celui-ci est dû à l’anthropocène notamment des pays développés qui ne respectent pas, par exemple, les accords de Paris qui visent à la réduction de gaz à effet de serre par ces derniers, et que les océans, principaux acteurs de la régulation des gaz a effet de serre ont un très grand rôle à jouer dans la survie de notre espèce.

Réaffirmant le fait que 90% des flux intercontinentaux s’effectuent par les mers et que donc toutes populations sont touchées par la préservation des océans dont ils usent tous de près ou de loin.

Réaffirmant le fait qu’il existe la Convention de la Diversité Biologique qui vise à protéger la biodiversité marine, ainsi que celle de Montego Bay qui définit les eaux territoriales comme espace de non-souveraineté mais pas de non droit, donc visant le respect d’accord commun convenus pour leur protection bien que l’enjeu principal soit d’exploitation. La Convention des Nations Unies sur le droit de la mer qui vise à la création et la protection d’aires marines protégées.

Soulignant le fait que d’ici 2022, l’objectif était de placer sous protection forte 10% des aires marines et que seulement 1 ?6% le sont.

Soulignant le fait que des pays utilisent encore des techniques de pêche intensives qui détruisent les fonds marins.

Profondément préoccupé par l’impact de l’anthropocène sur le réchauffement climatique et donc sur le futur des océans qui sont sources de vie pour de nombreuses populations qui en vivent (pêche), la monté des eaux, la destruction massive des fonds marins dont nous sommes pourtant dépendants, l’explosion démographique qui va accentuer l’anthropocène et donc l’avenir de l’humanité.

Réalisant que seule une coopération internationale forte puisse faire la différence pour l’avenir de nos océans.

Pleinement convaincu que la coopération et les actions à petites échelles des pays côtiers est le seul moyen de préserver au maximum nos océans et notre futur,

1. Encourage les pays qui n’ont pas signé et ratifié les Conventions sur la protection des mers et océans à le faire afin que tout le monde se sente pleinement concerné par ce problème majeur ;

2. Espère que des mesures plus strictes seront prises pour la pêche afin d’éviter la surpêche et donc la destruction des fonds marins ;

3. Souhaite sincèrement que les États membres se mobilisent et mobilisent leurs populations afin de lutter ensemble contre l’avènement de cette tragédie :

a) des petites actions prisent à échelle locale dans un objectif écoresponsable (utilisation de transports plus verts…),

b) des sanctions mises en vigueur grâce à des texte de lois pour les pêcheurs acteurs de surpêche par exemple ;

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