Journal de Télérama
Commentaire d'oeuvre : Journal de Télérama. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar lovebooklee • 12 Mars 2015 • Commentaire d'oeuvre • 548 Mots (3 Pages) • 678 Vues
ce texte en les reformulant. Vous veillerez à sélectionner surtout ce qui se rapporte à
l’enfant et à son sort, les considérations sur l’art du cinéaste Louis Malle n’entrant pas dans le thème
de la synthèse. Vous n’oublierez pas d’exploiter la photographie jointe à ce document.
A. Travail préparatoire au brouillon
• Genre : extrait d’un organe de presse, donc article. Le magazine Télérama est un hebdomadaire très
connu, consacré à la culture et aux programmes de télévision et de radio. En cas d’ignorance sur la
périodicité exacte, on pouvait la déduire du catalogue de l’énoncé grâce à l’indication « semaine non
précisée ».
• Type : article critique ; il présente le fi lm de Louis Malle tout en portant un jugement sur cette oeuvre.
• Idée directrice : on n’oublie pas de préciser le thème du fi lm lui-même, ni le ton globalement très
élogieux du journaliste, puisqu’on a ici deux points de vue superposés, celui de L. Malle et celui de
Frédéric Strauss.
• Idées principales reformulées :
Remarque : on ne se jette pas sur la photographie qu’il vaut mieux interpréter à la lumière de ce qui sera
écrit dans l’article. Comme pour le document 1, on suit l’ordre du texte.
– Dans ce qui est ajouté au-dessus de l’article et dans la présentation qui énumère les informations
habituellement jointes à ce type de diffusion, on voit que c’est un fi lm d’un cinéaste français, tourné
toutefois aux USA, en 1978 ; il fait l’objet d’une rediffusion, en 2006, sur une chaîne culturelle, ARTE.
Dès les premières lignes, on apprend qu’il a été sélectionné, l’année de sa sortie, au festival de Cannes
où il a fait scandale, ce à quoi s’ajoute l’évaluation très positive « TT » de Télérama. Même si l’on ne
doit pas le mentionner, on imagine déjà, pour soi-même, que ce n’est pas un fi lm de série Z.
– Le cinéaste l’a intitulé Pretty Baby, titre devenu La Petite dans la version française, ce qui, dans
les deux cas, met en valeur l’extrême fragilité de l’héroïne (on évitera donc de l’appeler la jeune fi lle
ou l’adolescente). C’est une enfant, ce qui est corroboré par l’âge mentionné, douze ans, et par le
« genre » attribué au fi lm : Fillette perdue. C’est donc une petite fi lle qui n’a déjà plus aucun avenir.
– La première moitié de l’article est consacré à des éléments narratifs essentiels. En 1917, aux USA,
en Louisiane, une gamine, Violet, passe
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