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La violence inédite des combats

Commentaire de texte : La violence inédite des combats. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  23 Janvier 2015  •  Commentaire de texte  •  544 Mots (3 Pages)  •  796 Vues

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I) La violence inédite des combats

1/. L’illusion d’une guerre courte :

- la guerre de mouvement se transforme en guerre de position,

- les soldats s’enterrent dans les tranchées,

- une guerre plus longue que prévu.

2/. Des batailles meurtrières :

- Verdun, la Somme, le Chemin des Dames…

- notion de « boucherie » illustrée par le lourd bilan humain de ces batailles,

- pilonnage des soldats par milliers par l’artillerie : le soldat est de la chair à canon,

- des assauts meurtriers récurrents, pour quelques centaines de mètres gagnés seulement,

-> N’oublie pas de donner des chiffres.

3/. Des armes nouvelles :

- gaz de combat : gaz asphyxiants et gaz moutarde,

- armes automatiques : mitrailleuses,

- chars d’assaut,

- naissance de l’aviation de chasse.

II. La vie dans les tranchées

1/. Des conditions de vie éprouvantes :

- hygiène déplorable : boue, rats, puces, urine, cadavres…

- manque d’eau et de nourriture,

- surnom des soldats, les « poilus ».

2/. Le moral mis à mal :

- peur constante des bombardements, des assauts et de la mort,

- attente et ennui,

- manque de sommeil,

- bourrage de crâne dénoncé.

3/. Un lieu de sociabilité malgré tout :

- spectacles organisés à l’arrière des tranchées : concerts, pièces de théâtre,

- artisanat des tranchées : sculpture sur bois, sur obus.

III. Tenir au front

1/. Les liens avec l’arrière :

- correspondance avec les familles,

- permissions accordées aux poilus à partir de 1915.

2/. La camaraderie :

- les soldats sont des frères d’armes : idée de patriotisme et de revanche par rapport à la défaite de 1871 et la perte de l’Alsace-Moselle qui les unit,

- expérience commune des conditions de vie insoutenables et de la souffrance collective engendrant la naissance de forts liens de solidarité.

3/. Consentement patriotique ou contrainte ?

- thèse du consentement patriotique (Stéphane Audoin-Rouzeau) : les troupes ont supporté l’effort de guerre grâce à l’attachement à la nation,

- thèse de la contrainte (Frédéric Rousseau)

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