La démocratie Est Le Pire Des régimes à L'exception De Tous Les Autres
Note de Recherches : La démocratie Est Le Pire Des régimes à L'exception De Tous Les Autres. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar jujube09 • 11 Février 2015 • 577 Mots (3 Pages) • 1 383 Vues
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Politique et International / La démocratie Est Le Pire Des régimes à L’exception De Tous Les Autres
La démocratie Est Le Pire Des régimes à L’exception De Tous Les Autres
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« La démocratie est le pire des régimes à l’exception de tous les autres » Winston Churchill.
À la suite des grands totalitarismes du XXème siècle et des abus rendu possible par les processus pourtant démocratique, Churchill se place dans un contexte comparatif privilégié pour, au regard de l’histoire, faire une apologie paradoxale et pessimiste, mais résolument tournée vers l’avenir, du régime démocratique déjà bien ancré dans les traditions politiques occidentales. Cette consécration en forme de critique est la marque d’un politicien rompu au jeu démocratique dont il est lui-même le produit, et fait preuve d’un certain fatalisme quand à la question ancestrale du régime politique parfait. Cependant l’examen de la fin, fréquemment tronquée, de cette affirmation permet de faire naitre une lueur d’espoir et amoindri la portée fataliste souvent prêtée à ces propos. Ainsi, Churchill affirme que « la démocratie est le pire des régimes à l’exception de tous les autres déjà essayé par le passé », il ne met donc pas un terme à la réflexion créatrice sur de nouvelles formes de régimes et n’exclut pas les formes, alors simples théories, qui n’ont jamais encore été essayées.
Au vu du contexte historique, il est aisé de penser que « tous les autres » désigne les régimes autoritaires et totalitaires du passé proche du premier ministre britannique, avec lesquels la comparaison penche nécessairement en faveur du régime démocratique. L’historien derrière l’homme politique englobe cependant nécessairement aussi les régimes antérieurs, le filtre de l’histoire permettant cependant de ne pas les intégrer dans le spectre des possibles alternatives à la démocratie.
L’acuité de son analyse se trouve donc essentiellement dans son caractère comparatif, ainsi l’homme d’état affirme qu’une analyse isolée de la démocratie ne lui est pas favorable, sa qualité apparaissant à la lumière des comparaisons avec les alternatives existantes et éprouvées.
La réelle question que Churchill, fin a
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