Liste de 20 activités concrètes de John R. Porter en tant que directeur général du Musée du Québec et le rôle accompli dans la réalisation de chaque activité énumérée
Dissertation : Liste de 20 activités concrètes de John R. Porter en tant que directeur général du Musée du Québec et le rôle accompli dans la réalisation de chaque activité énumérée. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar dissertation • 28 Août 2012 • 2 077 Mots (9 Pages) • 1 430 Vues
Questions 1 et 2
Liste de 20 activités concrètes de John R. Porter en tant que directeur général du Musée du Québec et le rôle accompli dans la réalisation de chaque activité énumérée.
1- Le directeur général renouvelle presque complètement l’équipe de direction tout en apportant certains changements à la structure de l’organisation. Par cette première activité, le directeur général s’entoure de gens en qui il peut avoir confiance et qui sont prêt à faire valoir leurs idées pour arriver à la meilleure fin possible.
Cette première activité suscite des changements au niveau de l’organisation. Or, le rôle d’entrepreneur est accompli par la réalisation de cette activité.
2- Il lui importe de disposer d’une structure efficace, conçue dans une perspective d’autonomie institutionnelle, et de recourir régulièrement à des ressources extérieures de l’organisation. Il remplace le poste de secrétaire général pour directeur du développement ayant pour mandat d’accroître les revenus autonomes du Musée.
Le rôle de leader est accompli lors de la réalisation de la deuxième activité. En changeant des postes, il touche à la mobilisation des employés ainsi qu’à la communication et la coordination des activités de ses subordonnés.
3- John R. Porter veut renverser les schèmes de pensée et doter le Musée d’un personnel ainsi que d’une clientèle d’une vision forte. Il formalise sa vision en un plan triennal qu’il soumet au conseil d’administration du Musée. Il change ainsi la programmation en organisant des expositions tels que Québec plein la vue, il crée de nouvelles formes d’activités culturelles et des salles tel que la salle Découverte pour attirer une clientèle plus jeune.
Le rôle de diffuseur et le rôle d’entrepreneur est accompli lors de la réalisation de la troisième activité. Son rôle de diffuseur prend place lorsqu’il formalise sa vision en un plan triennal qu’il soumet au conseil d’administration du Musée tandis que le rôle d’entrepreneur se fait entrevoir par les changements au niveau de la programmation.
4- John R. Porter entreprend un travail de mise en valeur des lieux par la création d’un jardin de sculptures exposant des œuvres originales d’artistes québécois ou étrangers, un animal coloré inspiré d’une œuvre d’Alfred Pellan. L’installation du monumental Arbre de la rue Durocher d’Armand Vaillancourt et la coiffure du dessus de l’entrée principale du Musée, la révision de la signalisation interne et externe et l’installation d’un éclairage nocturne font aussi parti des activités entreprises pour la mise en valeur. Il travail aussi sur la mission de l’entreprise à travers le service de publicité qui produit des affiches lumineuses, des dépliants et catalogues qui contribuent au plus grand rayonnement du Musée.
Le rôle d’entrepreneur est accompli par John R. Porter; il entreprend un travail de mise en valeur des lieux et donc suscite des changements dans l’organisation.
5- John R. Porter veut mettre l’accent sur l’organisation d’expositions, la mise en valeur des collections, réinventer et dynamiser la collection permanente. Il met alors sur pied l’exposition Québec plein la vue avec la Ville de Québec, le Salon du livre de Québec, la Cinémathèque québécoise et l’Université Laval. Cette collaboration mutuelle a eu pour but de renouveler certains partenariats ainsi que d’en créer de nouveaux.
Ces démarches illustrent le rôle d’entrepreneur et de porte-parole d’un gestionnaire, puisqu’elles nécessitent la création de nouvelles activités, dans ce cas-ci l’exposition Québec plein la vue, mais aussi la transmission de données aux partenaires qui sont à l’extérieur de l’organisation.
6- Le directeur veut mettre en valeur la collection du musée. Pour ce faire, il fait revoir l’inventaire pour proposer des lectures originales, mais aussi fait accélérer le processus de restauration des œuvres majeurs. Il révise également la vocation de l’ensemble des salles d’expositions, tels que la salle Art et Histoire du Québec qui permet désormais d’apprécier les œuvres illustrant l’Histoire de la Province. Deux salles sont consacrées à un survol de l’art du Québec réunissant différents médiums et invitant au renouvellement périodique du contenu des salles. De plus, le directeur fait déménager une œuvre monumentale qui permet de libérer une grande surface pour des expositions temporaires.
Le rôle de répartiteur des ressources est sollicité, car le directeur doit distribuer certaines ressources matérielles, soit les œuvres, entre les différentes salles.
7- En 1995, le directeur met sur pied une exposition satellite exposé dans les locaux d’une maison à Place-Royale. Pour la première fois, il amène des expositions au Musée du Québec en provenance d’un musée régional québécois, Le Charlevoix de Palardy, et également deux expositions internationales afin d’élargir les horizons de la programmation.
Afin de faire progresser les choses, le directeur utilise son rôle d’entrepreneur pour créer de nouvelles formes d’activités. C’est un introduisant des expositions locales et internationales qu’il réussit à faire avancer les choses tout en créant un changement aux accoutumances.
8- Afin de développer et consolider des réseaux pour le Musée, John R. Porter entreprend une tournée de sensibilisation auprès d’une vingtaine de grandes entreprises au niveau national et lance le Bulletin du Musée du Québec, une nouvelle version du périodique Amis du Musée.
Les rôles de porte-parole et d’entrepreneur sont associés à ces actions. En effet, le directeur général entreprend la transmission de renseignements tout en impliquant des changements et de nouvelles activités pour l’organisation. C’est en entamant une tournée de sensibilisation et en lançant le Bulletin du Musée qui vient transmettre des données à des personnes de l’extérieur. Le remplacement du périodique Amis du Musée par le Bulletin provoque des changements.
9- John R. Porter décide de faire modifier les normes d’attribution des subventions en présentant à différentes instances gouvernementales. Il fait valoir que le Musée du Québec reçoit le plus bas taux de financement et compare la situation des trois autres grands musées du Québec.
La présentation de ce mémoire correspond au rôle de porte-parole puisque le directeur général présente des informations officielles à des individus à l’extérieur de l’organisation.
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