La réinsertion des prisonniers au Maroc
Dissertation : La réinsertion des prisonniers au Maroc. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Kawtar BOURRHAYA • 14 Décembre 2022 • Dissertation • 339 Mots (2 Pages) • 321 Vues
L'une des préoccupations majeures de la société civile marocain et les pouvoirs publics et aujourd'hui la réinsertion des prisonniers ,c'est-à-dire la mise en œuvre d'un programme de l'enseignement et de formation professionnelle pour réintégrer les prisonniers dans la société et à travers aussi les activités sportives culturelles la prise en charge médicale l'amélioration des conditions de séjour et le raffermissement de la relation avec la famille et le mode extérieur . Dans ce but en 2002 il a été créé la fondation de Sa Majesté le Roi Mohammed VI de réinsertion des prisonniers après leur libération pour éviter la récidive et la marginalisation alors la question que nous vient et quelle est la situation des prisonniers au Maroc? et quelle est l'efficacité de ce programme et ses institutions de la réhabilitation et la réinsertion de ses prisonniers?
La fondation a également complété le programme initial réservé au centre de sauvegarde de l’enfance de la ville d’Oujda qui a bénéficié d’une visite royale en novembre 2002. Le programme complémentaire porte sur l’aménagement et l’équipement du centre et la construction d’un espace d’accueil des parents des pensionnaires. Cette opération, qui est arrivée à son terme, a mobilisé une enveloppe de 600.000 dirhams. Ces projets, ajoute le communiqué, font partie du programme pilote de réinsertion des détenus qui concerne également les pénitenciers de Oukacha, Aïn Sebaa, Salé et Aït Melloul et dont l’enveloppe
de 600.000 dirhams. Ces projets, ajoute le communiqué, font partie du programme pilote de réinsertion des détenus qui concerne également les pénitenciers de Oukacha, Aïn Sebaa, Salé et Aït Melloul et dont l’enveloppe globale est de 47 millions de dirhams environ.
Il est à souligner que certains pavillons dans les pénitenciers du pays seraient devenus des « zones de non-droit », il peut s’y passer n’importe quoi, du trafic de drogue, du racket et des règlements de compte. Les conditions de vie y sont déplorables, violences et inégalités y règnent en maître, mais surtout la prison ne remplit qu’imparfaitement sa mission : protéger la société tout en favorisant la réinsertion des détenus.
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