Être et écran

Stéphane Vial – Etre et écran

Heideggerien concept

• travail avec enfant → donc lien entre la manière d’être au monde et la manière de naitre !

ON parle de la perception en un sens phénoménologique.

Il a un parti pris empathique ca veut dire qu il se met a l ecoute de ce qui se passe avec le matériel numérique sans jugement de valeurs prononcé.

Il voit le numérique pas omme un outil mais comme un milieu symbolique dans lequel se joue du sens et une nouvelle culture. Il prend le numérique comme un matériau (qui prend des dimensions nouvelles qui vientbouleversé  un certian nombre de choses).

Il prend le numérique pour faire quelque chose qui a du sens pour améliorer notre vie (regroupe toute nos pratiques sociales – pratique éducatives ou rééducative).

Il n oppose pas le numérique à l humain. Il fait du numérique un moyen d humérisation. Il veut montrer comment il faut prendre le numérique comme quelque chose qui a un potentiel d imagination.

1er temps : partie la plus abstraite ppour réfléchir au rapport qui  se joue entre techinique et perception.  

Il choisi l approche de la phénoménologie (l’étude des phénomènes). Il aborde la trchnique comme une realité qui s offre a notre perception, comme des choses qui se donnent perceptivement et dont on peut faire une expérience vécue.

Gaston Bachelar, philosophe des sciences, a montré que la science etait une phénoménotechnique. Pour faire apparaître, il faut phénoménaliser lgrâce à des techniques adaptées par les scientifiques. Exempel : physique atomique (début du 20ème siecle) – opur rendre un phénomène imperceptibe phénoménalisable, perceptible, on a mis en place les accélérateurs de particules pour observer essais de ce qui se passe dans la matière nuéclaire. → il a fallut des technique pour rendre observable et transformer la théorique en phénomène (quelque chose de pratique).

Bachelar a fait comprendre au scientifique que leur travailne consistait pas seulement a décrire les phénomènes, il fallait aussi les mettre en actions (pour les rendre perceptibles, observables).

CONSEQUENCE DE CELA QUE VIAL A TIRéE : étendre idée de la phénoménotechnique à tous les phénomènes et pas de la limiter aux phénomènes de la physique. Dans la technique il y a une sorte de pouvoirphénoménologique, elle a la capacité d engendrée la phénménalité, la capacité d’apparaître. DONC dans la technique il y a la possibilité de faire apparaître et donc de faire apparaître comme réel.

Exemple : si on compare des objects techniques avec qualité technique particluière (ex la bougie, cire chaude, lumière), ça engendre des perceptions différentes (bougie pas la meme lumière que l ampoule incandescente, pas la même perception). Montre bien que des techniques différentes engendre des perceptions différentes et donc comme Heidegger le dirait, une manière d’être au monde différente (pour Heidegger être au monde = exister).

On a oublié la puissance perceptive qu’ a pu avoir l’arrivée de l’électricité dans nos foyers. Ca a été percu comme magique.  

Le tout est résumé sous le mot AUTOPHANIE, processus par lequel l’etre nous apparait (=phénoménotechnie générale) ( ?) : idée est que tous les phénomène sont phénoménotechnique (le fait que le public soit percu par lui et que lui soit percu par le public est un phénomène phénoménotechnique). Il y a donc une technicité fondamentale mais inapercue dans le faite meme d apparaître.   ➔ HYPOTHESE DE BASE

➔ De là que l’on va tirer plein d’idées

Commence par défendre que les techniques ne sont pas des outils. C’est une vision réductrice et méprisante (tant pour les techniques que pour les humains car c est une manière de masquer le rapport complexe et subtil que les humains ont avec ces techniques). Ce ne sont pas seulement des outils, ce sont des structures de la perception. Elles structurent culturellement et transcendatelement la perception et donc elles sont ce que certains philosophes (Benyamin notamment) ont appél des appareils, ce sont des machines à faire apparaître. (pour ce qui concerne les appareils) ON insiste sur le fait que dans leur puissance perceptrive elles ont une manière de faire apparaître le monde et de le donner au sujet qui le vit. Ce sont des especes de matrices invisibles (= matrice ONTOPHèLE) dans lesquels se coule la manière même d’apparaître.

ON peut relire toute l ‘histoire de la technologie  ou de la technique à travers cette grille de lecture et on peut relevé des changements d’antophanie (= des grands moments ou quand on change de système tehcnique {ensemble de techniques qui dominent une époque}.

DONC quand il y a des changement de système technique, il y a des changements d’antophanique (changement dans la manière de percevoir ce qui est technique tout comme ce qui ne l’est pas). Il y a un renouvellement des structure technique de la perception à chaque moment de l’hisotire. Donc il y a un renouvellement qualitatif de notre sens du réel et de notre manière de nous sentire au monde (on va plus loin que Heidegger qui dit lui manière d’être au monde), nous sentir présent sur terre, nous sentire être là (comme Heidegger)

Ex : à la Renaissance on parle d’antophanie éotechnique : mécanisme de bois, force de l’eau tout est fait à partir de là. (moulin hydrolique, tout ce qui fait notre quotidien). Création d’une ambiance perceptive différente (le bois est un matériau vivant, l’eau  l homme en est composé de plus de la moitié) et donc il y a une continuité charnelle de cette époque avec la nature puisque les matériaux sont peu intrusifs et vivants.

Ex : antophanie mécanisée : celle de la première révolution industrielle. C ets la machine à vapeur ce qui implique des mines de charbon et de nouveau matériaux (fer) ce qui donne chemin de fer, boite de concerve,… On est dans une ambiance perceptive autre avec une certaine violence qui devient social.

Ex : seconde révolution industrielle : électricité, moteur à explosion, révolution des transport, auto, train,… on est encore dans ce monde là qui est entrain de changé. C’est la deuxième antophanie mécanisée car on est dans une ambiance perceptive nouvelle.

Ex : après invention ordi, on voit que de la émerge un nouveau système technique progressif qui est composé de électronique (composant) ensuite  l’informatique (code, algorithme) ensuite le réseau (internet, les connexions) ➔ donc avec ces 3 composantes on a les 3 ingrédients du numérique = LE SYSTEME TECHNIQUE D AUJOURD HUI (pas figé et on ne sait pas jusqu ou il va aller.

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