La femme est elle inférieur
Dissertation : La femme est elle inférieur. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Man.ro • 29 Septembre 2016 • Dissertation • 358 Mots (2 Pages) • 830 Vues
J'ai arrêté de vivre depuis que tu es parti. Il ne s'agit plus de vivre, mais de survivre. Tu m'as laissé là, avec cette promesse de retour. Ta présence est l'antidote et le poison réuni. Je t'attends. Pourtant tu ne reviendra pas, mais je t'attends encore. Je ne doit pas me laisser mourir, même si l'ivresse du chagrin m'éloigne de la réalité. Je divague et plonge vers l'autre côté du miroir. Si tu savais comme il fait noir, l'air est emplie de tristesse et d'angoisse. J'ai besoin de toi ici. Je t'attends. Tu reviendras. Ou pas ? mais qu'importe, je ne suis plus moi depuis un bout de temps. Et si me noyer dans cette vague de chagrin, était la solution à ce troue béant qui se creuse plus profond en moi chaque jours, je ne l'emprunterai pas. Je doit t'attendre. Et puis, les souvenirs me hante. Et aussi douloureux qu'il sois d'y penser, je my perd volontiers. Une vie ou tu n'existe pas m'est trop difficile, inconcevable. Alors quit à vivre dans le passé, dans un monde factice, tant que tu es là jy suis. Pourtant ton visage s'efface, plus les jours passent plus il est difficile de me rappeler l'odeur de ta peau et le goût de tes lèvres. Nos souvenirs restent gravé mais les details disparaissent. Je ne veux rien oublier de tout ce que tu m'as apportée. Rien oublié de ce que tu as pus me faire ressentir, entre la douleur de nos dispites et le désirs de tes mains sur mon corps. Jai peur de tout perdre comme je t'ai perdu. Alors, chaque fois que le je peux, je revis tout ce qu'on a vecu. Assise sur un banc je t'imagines même surgir de nulle part, les cheveux ébouriffé et le regard tournée vers moi. Malgré mon cœur qui bat de nouveau à se souvenir, cela ne suffit pas. Quand tu es partie, la seule chose que tu as laissé c'est un troue béant dans ma poitrine. Ce troue qui déchire petit à petit mon être sans antidote. Car il n'y a que toi. Alors je t'en prie, revient moi.
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