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Réflexion éthique : Domaine de la relation aidante

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Par   •  15 Décembre 2015  •  Dissertation  •  915 Mots (4 Pages)  •  1 092 Vues

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Kimberley Rose

Groupe : 02

Le bien et le mal

Travail présenté à

Louis-Philippe Blanchette

Réflexion éthique : Domaine de la relation aidante

Cégep Marie-Victorin

24 novembre 2015

Depuis très longtemps, il existe la notion du bien et la notion du mal. Plusieurs se questionnent sur les particularités de ces notions, mais pour sur elles éclairent nos actions, notre jugement et nous permet de faire la part des choses, de ce qui vaux la peine d’être accompli et de l’autre côté, se qui mérite d’être oublier. Le mal c’est soit nuisible, destructeur ou immoral. Si l’on regarde pourquoi le mal existe sur Terre, les voix religieuses nous laissent croire que c’est le résultat d’un recul, d’un non-respect des dires de Dieux. Dieux nous a dit : « Ne volez pas », et malgré cela les hommes voles et désobéisse aux dires de notre divin créateur. Mais qu’est-ce qui est à l’origine du mal chez Platon et chez Kant? Platon parle plutôt de l’absence de connaissance, tant disque Emmanuel Kant lui croit que ça découle de notre manque de courage et de paresse.

D’abord, selon l’éthique platonicienne l’origine du mal vient de l’ignorance, de l’absence de connaissance. Platon dit : « Nul n’est méchant de son plein gré »[1], car il croit que sans connaissance on ne peut savoir la distinction entre le bien et le mal. Il nous est donc possible de poser une mauvaise action sans même s’en rendre compte ou encore de nous induire en erreur (en raison de notre manque de connaissance), car nous pensons que cela nous est profitable. De plus, il rajoute que personne n’est méchant volontairement dans la mesure où personne ne souhaite son propre malheur. Il y a donc une rupture entre le mal et la volonté. Par ailleurs, si le mal est un manque de connaissance, le bien selon Platon c’est de posséder des connaissances. Si nous avons des connaissances, nous sommes en mesure de connaitre les concepts avec l’aide de notre raison. Avec nos connaissances nous pouvons donc connaitre les concepts du bien grâce à notre raison et nous pouvons donc ainsi l’appliquer. Bref, ce sont les connaissances qui déterminent le bien.

D’autre part, selon l’éthique kantienne l’origine du mal provient d’un manque de courage et de la présence de paresse. Kant dit que tout le monde a accès à la vérité, car nous sommes tous munis de la raison. En effet, nous avons tous la capacité d’utiliser notre raison, mais nous ne le fessons pas en tout temps (ce qui provoque le mal). Aussi, Emmanuel Kant parle de l’état de tutelle, il s’agit de : « l’incapacité de se servir de son entendement sans la conduite d’un autre »[2]. En d’autres mots, il parle d’un état ou les autres pensent et font à notre place. De la facilité, a faire et a penser quand quelqu’un nous dit quoi faire et quoi penser. Cet état de tutelle est donc pour lui une preuve de paresse et de manque de courage qui découle du mal. Par conséquent, il croit que nous sommes en mesure de distinguer le vrai du faux et que la vérité peut venir de la raison même si nous ne l’utilisons pas a son plein potentiel. D’ailleurs, selon Kant il faut posséder la raison pour bien agir. Il pense que nous pouvons faire le bien si nous sommes bien intentionnés. Bref, selon ce philosophe c’est l’intention qui compte, car une bonne intention c’est la preuve d’une bonne volonté, d’une bonne raison.

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