La procrastination cas
Mémoire : La procrastination cas. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar mimi_sourir • 5 Octobre 2016 • Mémoire • 1 088 Mots (5 Pages) • 1 164 Vues
La Procrastination
Voici la définition du mot procrastination sur Wikipédia : La procrastination (du mot latin pro, qui signifie « en avant » et crastinus qui signifie « du lendemain » est une tendance à remettre systématiquement au lendemain (ou à plus tard) des actions. De nombreuses choses nous font procrastiner. Que ce soit la peur de réussir ou de subir l’échec. Le besoin de se protéger contre tout et tout le monde. Le manque de confiance, ou encore le manque de motivation… la liste est encore bien plus longue. Ce qui est certain, c’est que la procrastination dégrade notre existence, nous empêche d’avancer et d’être heureux.
Moi procrastinatrice??? On en reparle demain!
Comme je travaille 40h/semaines (voir plus), que j’ai une petite fille à la maison et que j’essaie de passer du temps avec mon conjoint et bien sûr mes deux chiens, j’ai tendance à faire de la procrastination dans tout… ménage, lavage, souper et même faire mon lit... J’ai aussi un petit déficit d’attention, donc aussitôt que quelque chose bouge dans la maison je perds ma concentration. Ça fait déjà un an que j’ai changé de métier, car mon poste avait été coupé, on m’a offert un poste en informatique, je suis bonne, mais j’apprends beaucoup durant une journée, ce qui fait que j’étudie presque tout le temps. Dès que je me sens fatiguée ou que je me dis que j’ai eu une grosse journée, quand je ne sais pas par quoi et où commencer, je remets mes lectures à plus tard, après ma douche, après mon petit temps de relaxation. J’aime passer du temps avec moi-même, jouer à mes jeux et tricoter. Maintenant que je suis aux études, il va falloir que je me motive! Que je me botte le derrière en bon québécois.
La procrastination s’explique comment?
Il y a plusieurs explications qui sont fournies par les spécialistes. Il peut s’agir, d’une habitude, d’un dysfonctionnement de la personnalité ou des dérangements neurologiques.
Il y a quelques signes chez moi qui me classe comme une procrastinatrice : je suis une fille très impulsive et je saute souvent d’une tâche à une autre. Par exemple, mon ménage, je commence par la cuisine, cinq minutes plus tard je suis rendu dans la salle de bain. Je sous-estime le temps nécessaire, pour pouvoir commencer plus tard. Je me dis que j’ai assez de temps pour l’accomplir, donc je peux commencer un peu plus tard.
Causes
Les causes sont assez simples. Premièrement, il y a le manque de confiance en moi, qui après une première session a grandement grandi! La plus grande cause est le manque de motivation. Il y a aussi le manque de concentration qui se résume par mon TDA (trouble du déficit de l’attention) et bien sûr la peur d’avoir de mauvais résultats (la peur de tout étudiant).
Conséquences
Souvent ça passait inaperçu aux yeux de mon conjoint et mes parents, mais ils savent me ramener à l’ordre lorsqu’ils s’en rendent compte! Comme défini plus haut, je suis une procrastinatrice, donc je remets beaucoup de choses à plus tard, voire même à la semaine prochaine. Malheureusement, il y a beaucoup de conséquences à mes actions, comme j’en suis déjà à ma deuxième session je les ai bien vus… J’avais seulement un cours en août dernier donc j’ai pu me remettre sur les pieds rapidement! Quand venait le temps de faire mes lectures, j’étais souvent à la dernière minute ce qui fait que mon cerveau était constamment stressé et ne voulait pas apprendre autant qu’il en était capable. En plus, comme je disposais de moins de temps pour les faire, j’avais tendance à les bâcler. Ce qui s’en suit par le fait que je n’étais pas satisfaite du résultat, je perdais de l’estime de moi-même, et j’avais encore moins le goût de refaire ces tâches à l’avenir.
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