L’enfance à t-elle besoin d’être nécessairement heureuse
Commentaire de texte : L’enfance à t-elle besoin d’être nécessairement heureuse. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Manon1512 • 4 Avril 2015 • Commentaire de texte • 672 Mots (3 Pages) • 2 481 Vues
Introduction : «Je me suis dit cent fois que je serais heureux si j’étais aussi sot que ma voisine, et cependant je ne voudras pas d’un tel bonheur » -Voltaire
L’idée du bonheur, apparue dès le IIIe siecle av J.C avec Epicure, fut mise de côté au Moyen-Age pour se remettre au centre de l’ttention des phylosophes et auteurs tel que Marivaux ou Montaigne, au 16e siecle.
L’enfance à t-elle besoin d’être nécessairement heureuse ?
Dans un premier temps, nous « expliquerons pourquoi » l’enfance apporte la possibilité d’être heureux par sa jeunesse d’esprit, son insoucience. Puis dans un second temps, nous verrons que le bonheur n’est pas forcement accomplis à cause d’un determinisme prononcé.
Thèse : -Inscouscience
-Protection des parents
-on peut s’amuser de tout (Jules Valles, L’enfant)
Antithèse : -Ca dépend de la famille d’ou l’on vient (chanson)
-
-rapport avec les autres enfants
Tout d’abord l’enfance est la seule periode de la vie où l’on a la chance de ne jamais se soucier de l’instant d’après ou du regard des autres. On agit sans vraiment connaître les conséquences de nos actes. Par exemple, je me souviens d’un jour, alors que mon frère courait pour rentrer a la maison, je lui ai refermé la porte dessus. Sur le moment je trouvais ça drôle, mais je n’avais pas pensé aux conséquences.
Ensuite, a cette période de la vie, on n’est encore trop petit et pas assez mature pour etre automne et assumer ses actes. Pour « régler ce problème d’inscousience », on a besoin de la protéction des ses parents.
Les conséquences auraient pu être dramatique. Donc on peut faire des choses dangereuses ; On a donc besoin de la protection de ses parents. Pour protéger un enfant, on peut lui cacher les différentes difficultés. En effet, dans le film « La vie est belle » le père tourne en dérision toutes les attrocités du camp de concentration pour protéger son enfant. C’est pourquoi, je pense que le bonheur de l’enfance vient aussi de la protection des parents ou de tout adultes.
Enfin, quand on est enfant on a une grande capacité d’imagination qui nous permet un enfant est d’une telle naïveté et est rempli d’imagination qu’il est capable de s’amuser de tout. Il pourrait passer des heures à jouer avec un ballon ou même se prendre pour un superheros. En effet, dans le livre de Jules Vallès, « L’enfant », le héros passe une nuit à lire « Robinson Crusoé », il s’imagine etre Robinson Crusoé et ça l’occupe toute la nuit.
D’velopper un monde imaginaire. A partir d’un rien on se fait tout une histoire.
L’enfance est donc bien, selon moi, une période heureuse, cependant, est-elle nécessitement heureuse. Est-ce que c’est toujours le cas. Quelles sont les limites de cette affirmation. Est-ce « nécessairement » une période heureuse ?
Premièrement, je pense que tout dépend de la famille dans laquelle on nait et du déterminisme culturel dans lequel on nait, c’est-à-dire
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