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L'amour selon moi cas

Thèse : L'amour selon moi cas. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  10 Février 2016  •  Thèse  •  2 452 Mots (10 Pages)  •  945 Vues

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Selon moi chaque personne devrait avoir la capacité d'attendre

A ce que l'amour leur tombe dessus.C'est toujours long je sais,

Majs sache que c'est beaucoup plus éfficace.

Lorsque j'étais moins jeune,Je disais tout le temps en moi même

”J'aimerais avoir une Jolie fille pour copine”

Et pourtant le bonheur ne se résult pas ainsi,juste en pensant de

Telle absurdité.L'amour pour moi,c'est tout simplement avoir

quelqu'un sur qui compté,qui t'apprecie vraiment,qui t'aime et qui

te veux à ta juste valeur.Car,un jour la beauté disparaîtra,

le sexe n'aura plus aucune valeur.La passion,les bambauches tous sans exception disparaîretront

Mais,sache que le peu qui resteront c'est: le respect,le bonté,la charité,

l'amour,la joie,le rire et le bonheur va continuer à rester grace à ces

choses la.

Un jour une femmem'avais dit: ”Ce n'est pas coucher avec un homme qui me derange vraiment,

Mais plutot,c'est qu'apres l'avoir homme decide de s'en aller juste apres”.

Fort souvent nous prenons le Malin plaisir de s'aventurer avec des femmes

Qui ne sont pas en réalitée de vraies aventuriere.Nous donnons plus d'importance au sexe

plutot qu'a la personne que nous aimons vraiment.

La plupart des femmes se livrent a un tel plaisir que par amour.

Quand on aime quelqu'un il ne faut pas essayer de changé sa vie mais plutot

Essaye de completer sa vie.En amour on ne se résigne pas mais plutot on doit

etre combler par l'amour que nous apporte la personne choisit. II. – LE RÊVE DE VIE

Les amoureux de l’art pur formulent ainsi leur esthétique : L’Art est la recherche de l’expression, la forme se suffit à elle-même, le sujet d’un tableau ou d’un poème ne signifie rien, il n’est que le prétexte d’une belle forme ; s’il renferme une pensée nouvelle ou une idée profonde, il distrait de l’unique contemplation artistique, et trouble la pureté de la sensation. L’invention est une qualité secondaire, la tendresse et l’éloquence ne sont pas véritablement de l’Art et doivent être proscrites. La forme étant ainsi le but suprême, les sincères plaintes du cœur et les doutes, philosophiques qui altèrent la sérénité de cette forme sont systématiquement écartés ; l’Art, ne devant pas s’abaisser jusqu’à exprimer les souffrances et les inquiétudes d’un individu, conduit à l’impersonnalité et à l’indifférence, en apparence tout au moins. Les écrivains auxquels la connaissance de soi-même et des choses apparaît comme la fin nécessaire proposée à l’homme dans la vie ne cherchent dans l’art que des expressions diverses de l’âme humaine, de révélatrices manifestations de pensée ; pris d’une sympathie passionnée pour tous ceux qui dévoilèrent les mystères de l’être, ils n’ont pas l’impassibilité qui permet d’admirer des spectacles en tant que simples spectacles et ils ne peuvent écouter, sans tressaillir jusqu’au fond d’eux-mêmes, « la mer qui se lamente en pleurant les sirènes ». S’ils étudient, par exemple, la fondation du christianisme qui transforma l’intelligence et la sensibilité de toute une époque, ils ne peuvent évoquer Jésus sans voir en lui l’instaurateur d’une religion ; lisez le sonnet Épiphanie de M. de Heredia, et vous verrez qu’un pur artiste n’a vu dans la course des Rois Mages à travers l’Orient, qu’un prétexte à mots rares et à riches effets ; lisez le Huchier de Nazareth, et vous n’y trouverez guère que la liste harmonieuse des instruments dont saint Joseph se servait dans son atelier. On pourrait ainsi multiplier les exemples d’où ressortirait la différence de vision entre un artiste dans le sens étroit de ce mot et un écrivain hanté de métaphysique. Il semble donc que la Forme de M. de Heredia une fois analysée, rien ne reste à dire sur son œuvre ; et pourtant, même dans cette poésie qui n’a pour objet qu’elle-même, on peut découvrir l’ensemble des idées de l’auteur sur l’homme et sur le monde. Taine, dont l’esprit était essentiellement généralisateur et philosophique, disait souvent : « Le signe d’un esprit supérieur, ce sont les vues d’ensemble. Au fond, elles sont la partie capitale de l’homme ; les autres dons ne servent qu’à préparer ou à manifester celui-là ; s’il manque, ils restent médiocres ; sans une philosophie, le savant n’est qu’un manœuvre et l’artiste qu’un amuseur. » Le malheur est qu’il n’y a peut-être pas d’artiste qui, par ses œuvres, ne manifeste une conception de métaphysique et de morale : certes, il est facile de saisir la différence qui sépare un esprit philosophique d’un esprit qui ne l’est pas, et l’on sent très bien l’antinomie intellectuelle qui existe entre un sonnet des Épreuves et un sonnet des Trophées, entre une toile de Puvis de Chavannes et un tableau de Meissonnier. La différence serait simplement celle-ci ; les uns seraient conscients de leurs pensées et de leurs vues générales, les autres en seraient inconscients et feraient de la philosophie comme M. Jourdain faisait de la prose : sans le savoir. Le culte de la Forme est déjà par lui-même une philosophie. Il implique la croyance à un idéal supérieur du Beau, vers lequel nous devons tendre, à une loi d’harmonie régissant les choses et les êtres, à laquelle nous sommes soumis inévitablement. Si l’univers était une agrégation sans cause de molécules unies au hasard, on ne saurait dégager des spectacles un élément de Beauté. Or, M. de Heredia est le plus fervent adorateur de l’Art plastique : le monde lui apparaît comme une sorte de perpétuelle féerie, faite pour l’enchantement de nos yeux et le ravissement de nos sens, et cette conception a développé en lui un sentiment essentiellement moderne : la curiosité. Non curiosité de lui-même, car il dédaigne l’individu, à l’instar de Leconte de Lisle qui, dans les Hurleurs, flagelle de son mépris tous ceux qui livrent leur âme à la foule indifférente,

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