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Commentaire critique sur Rousseau

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Par   •  25 Avril 2017  •  Commentaire de texte  •  1 252 Mots (6 Pages)  •  1 690 Vues

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Jalbert, Arianne

Philosophie 102

Gr: 1414

Commentaire critique sur Rousseau

Professeur : Jacinthe Allard

21 Avril 2016

Jean-Jacques Rousseau était un écrivain, un philosophe et un musicien. Il est né le 28 juin 1712 à Genève et il est mort le 2 juillet 1778 à Ermenonville. Jean-Jacques Rousseau a été un des penseurs les plus influents durant le siècle des Lumières. Ce siècle était un mouvement intellectuel lancé en Europe au XVIIIe siècle, dont le but était de dépasser l'obscurantisme et de favoriser les connaissances. Son ouvrage : Le Discours sur l'origine de l'inégalité a été à l'étude dans le cadre du cours de philosophie. Selon Rousseau, l'être humain possède une seule vertu naturelle : la pitié. Cette vertu naturelle participe à la conception rousseauiste de l'homme dans son état naturel. La pitié est un sentiment naturel et inné de ressentir une répugnance envers un être sensible en train de périr ou souffrir et le considérer avec commisération, à le traiter avec une indulgence particulière. Les êtres humains et les animaux sensibles possèdent la pitié. Toutes les vertus sociales découlent de la pitié naturelle. Comme par exemple : la générosité, la clémence, l'humanité, la bienveillance et l'amitié. Suite à la lecture de la première partie de son discours, la question suivante nous vient en tête : Est-ce que la pitié a toujours une fonction à jouer pour l'humain socialisé ? Je pense que oui, la pitié a toujours une fonction à jouer dans la vie de l'homme socialisé, car sans elle, l'espèce humaine serait en chaos total et ne serait pas rendu très loin historiquement. La pitié a un rôle à jouer dans les vertus sociales, les bagarres et la préservation de l’espèce humaine.

Sans le sentiment de pitié, l'homme socialisé n'aurait aucune connaissance des vertus sociales présentes dans notre société actuelle et ne pourrait pas vivre avec d'autres humains. La bienveillance est la capacité à se montrer indulgent, gentil et attentionné envers autrui. Elle est une vertu nécessaire dans notre société. Quand nous sommes bienveillants envers les autres, ceux-ci sont plus heureux, alors notre monde devient un endroit plus merveilleux et plus tolérable à vivre. L'homme social est un état dans lequel, à travers le temps, l'homme sauvage qui était auparavant auto-suffisant et qui ne nécessitait pas la compagnie des autres, a appris à vivre en harmonie avec les autres humains. Quand on ressent de la pitié, on se met à la place de la personne souffrante et cela nous suscite à lui venir en aide. Rousseau décrit aussi comment les animaux sensibles expriment la pitié : <<… on observe tous les jours la répugnance qu`ont les chevaux à fouler aux pieds un corps vivant ; un animal ne passe point sans inquiétude auprès d`un animal mort de son espèce…>> (Rousseau 1755, P.80 L. 1 à 5). Quand une personne handicapée tombe ou une personne est à terre en train de souffrir, nous sommes automatiquement poussés à lui venir en aide. Ceci est une fonction importante de la pitié dans la vie de l'homme social.

L`homme qui vie en société a tendance à éviter toute disputes ou bagarres avec une autre personne de son espèce. Le pacifisme une existe grâce à la pitié. Un conflit est une situation entre deux personnes qui est causé par soit une invasion d’un territoire, différents intérêts politiques/religieux. Le pacifisme est

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