Commentaire Rousseau

Dans ce texte Rousseau aborde la question du bonheur. Il nous propose sa définition du bonheur et se demande comment pouvoir atteindre celui-ci d'après nos désirs et nos facultés.

L'auteur veut montrer que pour trouver la route du bonheur il faut diminuer l'excès des désirs sur les facultés et donc qu'un homme dont les facultés égalent les désirs serait le plus heureux.

Dans un prmière partie (l.1 à 8 ) Rousseau introduit la notion de boheur dont il parlera. Ensuite (l. 8 à 12) il introduit sa thèse. Enfin (l.12 à 19) il propose en conclusion une seconde formulation de sa thèse en argumentant ses propos.

Ainsi après avoir éxpliqué le texte nous essaierons de montrer que contrairement à ce qu'avance l'auteur si je dois résorber l'excès de mes désirs sur mes facultés, il faut nécessairement que je connaisse d'abord celles-ci.

Dans la première partie (l.1 à 8) l'auteur aborde la notion de bonheur. Il veut nous faire comprendre que nous ne connaissons jamais vraiment le bonheur ou le malheur car ils sont mélés. Dans un premier temps, il indique que chaque personne a conscience du bien et du mal mais mais en differentes mesures. Autrement dit, si l'on prend deux personnes menant la même vie une de ces deux personnes peut se considérer comme heureuse de se contenter de ce qu'elle possède alors que la deuxièmme est malheureuse du fait qu'elle se compare par exemple à quelqu'un d'autre se trouvant dans une meilleure situation.

Dans un second temps il propose une difference commune à tous les Hommes. Pour lui un Homme heureux est une personne qui connait le moins de peine alors qu'un Homme misérable est une personne qui ne ressent que très peu de plaisir. Il en fait une petite conclusion sur le bonheur suprème de l'Homme qui n'est qu'un "état négatif".

Dans la seconde partie du texte (l.8 à 12) Rousseau présente sa thèse une première fois. Il procède en deux temps. Tout d'abord il précise que notre misère est due au mauvais dosage entre nos désirs et de nos facultés. Pour se faire, il argumente sur l'idée qu'est le plaisir en créant des relations entre désir et privation. Enfin il soutient que pour être absolument heureux il faut que les facultés égalent les désirs. Autrement dit nous devons contrôler nos désirs en fonction des facultés que nous possédons afin de ne pas les dépasser.

Dans la troisième et dernière partie de son texte (l.12 à 19) Rousseau dévelloppe un argument pour ensuite reformuler sa thèse. Il souligne en effet qu'il faut diminuer l'exès de désirs sur les facultés pour que puissance et volonté soient égaux. Toutefois, il ne faut pas diminuer nos désirs ni étendre nos facultés au risque de se retrouver encore plus malheureux que précédament.

Dans ce texte que nous venons d'expliquer, Rousseau s'efforce de montrer que nous devons diminuer notre exès de désirs afin que nos facultés les égalent pour que l'on soit heureux. Il se fonde sur les conséquences liées aux déséquillibres entre les désirs et les facultés.

On peut nuancer sa position en remarquant tout d'abord que si l'on doit résorber l'excès de nos désirs sur nos facultés, il faut nécessairement que l'on connaisse d'abord

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