Alcibiade

Commençons avec le sujet d’amitie et sa definition d’apres Socrate. Contrairement à ce qui est dit par alcibiade sur le sujet de l’amitie, Socrate pense que l’amitie n’a pas rapport avec les domaines des atheniens. Il trouve que l’amitie dans la societe de la cite est en fait le resultat d’accomplissment d’une collection d’actes justes fait par le peuple. Socrate demontre cette idée a l’aide d’un exemple; la femme et son mari. Les deux ont des roles différentes dans la société et les deux ne savent pas la spécialité de chacun. Socrate explique que c’est impossible pour l’homme d’être en accord avec la femme sur le sujet de filer la laine puisque le mari ne se connait pas à ce sujet. D’abord ce n’est pas l’accord entre les individus par rapport a un sujet ou métier spécifique qui les rends vraiment ami mais la présence de la justesse dans la vie de tous les jours de celles-ci.

Il est ensuite important de clarifier ce qui est la politique pour Socrate. On a vu précédemment que Socrate n’est pas intéressé par la politique puisqu’il trouve ce domaine injuste et cela va contre sa nature. La politique pour Socrate est de conseiller des actes avantageux et non nécessairement juste dans la cite. Socrate questionne Alcibiade sur ce sujet. Alcibiade affirme que les bonnes choses sont justes et alors les bonnes choses sont avantageuses. Socrate a son tour lui présente la chose suivante comme exemple: Quelqu’un qui se lève pour prodiguer un conseil aux Athéniens et lui il dit que quelque chose de juste peut être mauvaise. Cet individu croit savoir ce qui est juste et il implique que d’agir juste n’est pas toujours bon pour la cite. Socrate continue en disant qu’Alcibiade aurait aucun choix qu’à se moquer de cet individu puisqu’il pense le contraire. Alcibiade est clairement envisagé par sa contradiction de tantôt sur le sujet. C’est clair ici que la politique est démontrée comme une manière d’agir pour l’avantage de l’individu ou un certain groupe d’individus et cela en fait peut être peut impliquer des façons de faire injustes.

Poursuivons avec la question suivante : En quoi L’enseignement de Socrate nous invite-t-il a penser que la politique dénature l’amitié? Il est maintenant facile à voir le rapport entre l’amitié et la politique avec les définitions que nous avons précédemment établie pour ces deux termes. L’amitié pour Socrate est fondamentalement basée sur l’ensemble d’accomplissements d’actes justes des individus. Au contraire, la politique cherche seulement à avantager un individu ou un groupe d’individus spécifiques. La politique n’est certainement pas juste alors que l’amitié a besoin de cette justesse pour exister. La contradiction de la politique et l’amitié est pleinement clair. Celle-ci dénature et ruine comme dit l’amitié.

Socrate continue avec une solution a cette problématique, connaitre le sois et atteindre l’excellence de l’âme. Socrate dispose une solution a la contradiction de l’amitié et la politique. Celle-ci est de se connaitre soi-même et s’améliorer en s’éduquant et atteindre l’excellence de son âme. Pour pratiquer la politique, il faut tout d’abord atteindre cette notion d’excellence élaboré par Socrate et pour atteindre l’excellence il faut être sage. La sagesse ici est définie comme la connaissance

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