Russel / Problèmes de Philosophie
Commentaire de texte : Russel / Problèmes de Philosophie. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar ZuukMayzee • 2 Mars 2022 • Commentaire de texte • 1 191 Mots (5 Pages) • 500 Vues
Plouhinec
Ewen
Devoir Maison de philosophie
Bertrand Russell
Partie Développement et Conclusion
Problèmes de Philosophie est un ouvrage philosophique écrit par Russell, un philosophe du XXème siècle. Nous étudierons un extrait du chapitre 15. Les principaux thèmes abordés sont ici : Les croyances ( quels soient vraies ou fausses ), les certitudes/incertitudes, l’étonnement et la valeur de la philosophie.
Nous pouvons donc définir le problème philosophique abordé : Pourquoi l’étonnement et l’incertitude sont-ils inhérents à la philosophie et quelle est leur utilité en philosophie ?
La thèse défendue par Bertrand Russell est que l’incertitude permet de donner une valeur à la philosophie, et que le fait de ne pas avoir connu l’incertitude nous pousse à prendre toutes les informations que l’on prends que ce soit des préjugés, des stéréotypes ou bien des croyances vraies. Et ainsi sans incertitude pas d’étonnement et par conséquent pas de réflexion philosophique. Tandis que si l’on est incertain on philosophe, l’Homme devra ainsi s’ouvrir au monde ce qui engendrera des questions, qui apporterons connaissances pour nous permettre de mettre fin aux dogmatisme. Et ainsi voir mieux le monde qui nous entoure.
Nous commencerons donc par argumenter sur le fait d’être prisonnier de ses dogmes et des ses fausses certitudes de la lignes 1 à 6, Et nous finirons sur la nécessité de douté et d’être incertain pour philosopher des lignes 6 à 14.
I Prisonnier de nos certitudes et de nos dogmes
1) L’incertitude l’arme contre les drogues Lignes 1 à 2
2) Les causes de cette emprisonnement Lignes 2 à 4
3) Les conséquence de cet emprisonnement Lignes 4 à 6
II La nécessité de philosopher et de douter
1) Les problèmes posés par la philosophie … Lignes 6 à 9
2) … qui permettent de détruire le dogmatisme et qui restaurent la capacité d’émerveillement Lignes 9 à 14
Tout d’abord, l’incertitude est l’arme la plus efficace contre le dogmatisme, en effet, car elle permet la philosophie et plus précisément la valeur la philosophie comme le dit Russell « C’est dans son incertitude même que réside toute la valeur de la philosophie ». Et la philosophie à pour principe le questionnement ce qui s’oppose fortement aux dogmes qui sont des affirmations incontestables. Il poursuit sur le fait que cette incertitude est nécessaire sans incertitude nous sommes esclave/prisonnier des pensés préconçues : « Celui qui ne s’y est pas frotté traverse l’existence comme un prisonnier ».
Mais l’homme est prisonnier à par la faute des croyances véhiculés pour la plupart fausse : « Convictions qui ont grandi en lui sans la coopération ni le consentement de la raison », mais ce ne sont pas des croyances vérifiés par la raison ce ne sont que des opinions/doxas et des dogmes. En effet pour prouver qu’une croyance est vraie, il faut la démontrer par le Logos ou la raison sans quoi il ne s’agit que d’une opinion sans fondements véhiculés par un pays ou une religion, il s’agit de dogmes en voici un exemple : Dans les régimes totalitaires il n’y à qu’une façon de penser du leader : une pensée unique incontestable qui ne peut être remise en cause. Cela ressemble très fortement à la définition du dogme : « Point de doctrine établi ou regardé comme une vérité fondamentale, incontestable ».
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