La vérité cours
Cours : La vérité cours. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Zara O • 28 Mars 2016 • Cours • 880 Mots (4 Pages) • 723 Vues
La conscience, l'inconscient
Je suis en toute certitude une chose qui pense, un sujet doué de conscience. Mais la conscience ne fait pas du sujet pensant un simple spectateur des choses, car le sujet est d’abord un sujet engagé dans le monde. Prendre conscience du monde, c’est poser le monde comme objet en face du sujet que je suis. Ma conscience me sépare non seulement du monde, mais aussi, comme l’a bien vu Sartre, de moi-même. On peut dire, en ce sens, que la conscience est liberté puisque à chaque instant je peux prendre des distances à l’égard de ce que je suis. Un autre choix de moi-même dans le monde est toujours possible.
La découverte freudienne d’un inconscient psychique pose problème dans la mesure où elle donne à penser que nous serions manipulés par des forces obscures et que nous pourrions ne pas être maitres de nos choix, de nos actes, de nous-mêmes. Reconnaitre l’existence d’un inconscient serait abdiquer notre responsabilité. C’est pourquoi des philosophes comme Alain ou Sartre nient l’inconscient et cherchent à montrer que cette hypothèse est une erreur et une faute.
La csce, c la distance qui E entre moi et moi-m et entre moi et le M.
1. La conscience fait-elle la grandeur ou la misère de l'homme ?
• Pascal → elle fait à la fois l'1 et l'A → rd l'H responsable de ses actes, la csce définit l'essence de l'H et fait sa dignité. J'ai csce de ce q je fais et peux en répondre dvt le tribunal de ma csce et celui des H : seul l'H a accès à la dimens° de la spiritualité et de la moralité.
2. La conscience que j'ai d'exister peut-elle être remise en doute ?
• Certes, je peux me tromper ds la connaiss q je crois â de moi : celui qui croyait ê courageux peut s'avérer n'ê qu'1 lâche, etc. ; ms la pure csce d'ê, elle, ê nécessairemt vraie.
Ainsi, Descartes, au terme de la démarche du doute méthodique, découvre le caractère absolumt certain de l’E du sujet pensant : « je pense, dc je suis ». Quand bien m tout ce en quoi je crois n'aurait pas plus de Vé q le contenu de mes songes, 1 certitude demeure, celle que j'E, et aucun doute, aussi exagéré soit-il, ne peut la remettre en cause.
• Descartes fait ainsi du phénomène de la csce de soi le fondemt inébranlable de la Vé, sur lequel tte connaiss doit prendre modèle pr s'édifier.
3. Comment concevoir la conscience ?
• Que je sois certain que j'E ne me dit pas encore qui je suis. Descartes répond q je suis « 1 substance pensante »absolument distincte du corps. Pourtt, en faisant ainsi de la csce 1 « ch » existant indépendammt du corps et repliée sur elle-m, Descartes ne manque-t-il pas la N m de la csce, c ouv sur le M et sur soi ?
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