Y-a T-il Des Questions Porfondes ?

Y a-t-il des questions profondes ?

Durant toute son évolution l’homme cherche à savoir le pourquoi et le comment des choses qui l’entourent. Mais pour savoir il faut d’abord se demander, se questionner. Puis analyser, déduire, et enfin conclure. Le savoir est un héritage qui se transmet de génération en génération. Ce savoir se transmet par le langage. Le candidus (du grec vierge, blanc) va proposer, par le langage, une invitation au savoir à un être éduqué. Cette invitation est habituellement appeler ‘’ question ‘’ (du latin quaestio « recherche ». Une question est une phrase interrogative. Par définition, c’est une demande que l’émetteur de l’interrogation adresse au destinataire dans le but d’obtenir un renseignement. Par cette proposition l’émetteur invite le destinataire à avoir une réflexion qui implique des difficultés à résoudre, le plus souvent d’ordre théorique. Cependant dans la question que l’on nous pose ; on parle de questions ‘’profondes’’. Le mot profond désigne plusieurs choses dans différent domaine. En mathématique, la profondeur est la 3ème dimension spatiale. Dans le domaine maritime, cela représente la distance entre la surface de la mer et le fond. En philosophie, la profondeur est associée à la pensée. C’est une opposition à la superficialité. Cependant pourrait-on associé ces deux mots : question et profond ? Cela voudrait signifier que qu’il existerait des questions qui auraient une longueur, un écart ou une différence avec d’autres questions.

Une question profonde est une question qui nous concerne dans nos trippes, une question qui nous préoccupe à laquelle il nous faut une réponse. Tout d’abord commençons pour cas l’allégorie de la caverne. Le prisonnier qui est libéré et qui découvre une autre réalité qui n’est pas la sienne à proprement parler. Pour lui, tout ce qu’il voit, tout ce qu’il sent, tout ce qu’il touche, tout ce qu’il entend ; va être totalement nouveau pour lui. Prenons pour exemple un bateau. Ce prisonnier nommé X va se demander, se poser des milliers de questions qu’est-ce que c’est ? Comment ça marche ? Etc. Si X demande à Y (un homme qui vie en dehors de la caverne) qu’est ce que c’est sa ? En désignant du doigt le bateau. De manière évidente Y va lui répondre  « un bateau » Cette réponse spontané, est évidente grâce à notre vécu, à notre éducation, donc dans ce cas il ne va pas avoir de réflexion importante. Cependant le récepteur va se dire mais X est complètement natif, c’est un idiot, il ne sait rien. Et c’est compréhensible car une question profonde est avant tout une question personnelle qui nous perturbe, qui nous interroge à l’intérieur de nous même, dans notre esprit. Il y a donc question profonde car elle est en nous, à l’intérieur de nous, personnel. De plus imaginons qu’il y est eu un autre prisonnier, nommé Z, qui soit sorti en même temps que X et qui se demandait aussi cette même question. Celle-ci serait alors une question profonde pour lui aussi. Dans ce cas là on peut dire qu’une question profonde ne peut-être que personnel mais peut être universel. Car si l’on émettait l’hypothèse que l’humanité entière se posait une seule et même question et qui pour eux-mêmes celle-ci serait existentiel. Alors on pourrait affirmer que cette question (ex : est-ce que dieux existe ?) est profonde et universel.

Continuons ainsi mais en se demandant pourquoi doit-on apprendre ? Nous apprenons car nous ne sommes pas doués dès la naissance. Notre culture, le monde qui nous entoure, notre civilisation (se déplacer, communiqué) s’apprend essentiellement lors de notre enfance. On nous ‘’apprend’’ à marché, enfin c’est ce que les individus pense en général. Car en fait l’enfant n’apprend pas de ses parents lors de son enfance, mais procède par imitation des individus qui l’entoure (émettre des sons, s’asseoir, se lever, se déplacer, marcher). Cependant l’animal (ex : le cheval) lui dès la naissance ou quelques minute après va se lever, puis marcher et enfin manger. Contrairement au cheval, l’homme lui va avoir une évolution nettement moins rapide. (9/12 mois pour marcher, 18/24 mois pour parler). D’après le mythe de Prométhée, l’homme serait venu au monde sans aucun atout. On a donné une carapace à la tortue, des ailes à l’aigle mais rien à l’homme. Et ce serait cette nudité qui serait la force de l’homme. Car sans atouts l’Homme doit tout apprendre et tout faire pour satisfaire ses besoins (construire). L’Homme n’est donc pas déterminé à sa naissance et c’est pour cela qu’il cherche, se demande, qu’il transmet, et qui progresse. C’est pourquoi l’Homme est doué de raison et qu’il se pose des questions profondes lors de sa vie, en tentant dit répondre par des réflexions et des questions. C’est cette profondeur entre l’inné de l’animal et l’acquis de l’humanité qui serait la raison pour laquelle l’Homme se pose des questions profonde ? Contrairement à l’animal qui lui ne se pose pas de questions car il est doué de raison dès la naissance et qu’il sait tout ce qu’il y a à savoir pour sa survie. Donc si l’on admet la théorie de Platon dans laquelle il dit «  un jour l’âme est tombé dans un corps  » cela signifierait que l’âme proviendrait de ‘’dieux ‘’ et que chaque nouveau né est dieux mais qu’il aurait lui-même oublié qui il était (Dieux).Et que cette âme, qui tomberait de haut en bas provoquant un choc au niveau du corps. Ceci donnerait donc une âme au corps mais du au choc cela provoquerait un trauma et donc une amnésie, ce serait pourquoi alors rien n’est inné pour l’homme. Nous sommes faits de savoir mais nous sommes ignorants. Cela voudrait Donc dire que l’ignorance amène l’homme à se poser des questions existentielles et profondes.

Finissons par nous demander si une question n’a pas pour quête la vérité. Cela voudrait dire qu’une question profonde serait une question vers laquelle on ne cherche que la vérité pleinement légitime en droit et universel. A moins qu’il existe une personne qui ne cherche pas la vérité car elle fait preuve d’obscurantisme. C’est analysant ce fait que nous allons pouvoir démontrer qu’il n’existe pas de questions profondes.

Reprenons l’allégorie de la caverne. X et Y revenant de l’extérieur, retourne dans la caverne. Où là il annonce à leurs collègues que la réalité

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