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République de Notes Platon

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Par   •  26 Mai 2014  •  Analyse sectorielle  •  1 012 Mots (5 Pages)  •  958 Vues

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La République

Notes

Platon

Livre I

- La possession de richesses est très précieuse uniquement pour le sage.

- Définitions fausses de la justice : 1. Juste = avantageux au plus fort (les arts ont en vu l’avantage du plus faible et non du plus fort) ; 2. Justice = art de dérober en faveur de ses amis et aux détriments de ses ennemies (avis d’Homère...) ; 3. Justice = dire la vérité et rendre ce que l’on a reçu.

- Les H justes sont plus sages, meilleurs et plus puissants dans l’action / H injustes.

Livre II

- Ceux qui pratiquent la justice ne le font pas volontairement, parce qu’ils la considèrent comme une chose nécessaire et non pas comme un bien.

- VS Socrate : la justice n’existe que parce qu’elle tient le milieu entre le plus grand bien (commettre impunément l’injustice) et le plus grand mal (la subir quand on est incapable de se venger).

- Quand un homme donne et reçoit, il agit dans la pensée que l’échange se fait à son avantage.

- Principe fondamentale pour la cité : Dieu n’est pas la cause de tout, mais seulement du bien.

- Ce qui est parfait est le moins exposé à des changements du dehors.

-

Livre III

- Homère et les autres poètes se servent de l’imitation dans leurs récits.

- C’est involontairement qu’on est privé de l’opinion vraie.

Livre IV

- Pauvreté et richesse perdent les arts et les artisans.

- Musique liée aux lois.

- Réformer une loi = couper la tête d’une hydre.

- Courage = force qui sauvegarde constamment l’opinion droite et légitime.

- L’homme est comme une cité : différentes parties le composent : rationnel, irrationnel et concupiscible.

- Homme juste ne fait qu’une seule tâche qu’il sait faire très bien. Injustice = usurpation entre les différentes parties de leurs tâches respectives.

Livre V

- La femme et l’homme ont même nature sous le rapport de l’aptitude à garder la cité, réserve faite que la femme est plus faible et l homme plus fort.

- Quant aux jeunes gens qui se sont signalés à la guerre ou ailleurs, nous leur accorderons une plus large liberté de s’unir aux femmes, pour qu’il y ait prétexte à ce que la plupart des enfants soit engendrés par eux.

- Une cité doit se comporter comme un seul homme.

- Ils regarderont dans leurs différends avec les Grecs comme une discorde entre parents, et ne leur donneront pas le nom de guerre.

- Tant que les philosophes ne seront pas rois dans leurs cités (/ rois -> philo), il n’y aura pas de bonheur possible dans une cité.

- Deux sortes de philosophes : ceux qui le sont vraiment, et ce qui aiment les belles choses mais pas le beau en lui-même.

- Philosophe : toutes les qualités possibles, mais il suffit d’une mauvaise éducation -> le pire des malfrats.

- L’opinion est qch d’intermédiaire entre la science et l’ignorance.

Livre VI

- on se laisse fourvoyer un peu à chaque question, et ces petits écarts s’accumulant, apparaissent à la fin de l’entretien sous la forme d’une grosse erreur.

- Ce n’est pas au chef, si vraiment il peut être utile, à prier les gouvernés de se soumettre à son autorité.

- Qn qui à toutes

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