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L'être Humain Une Menace Pour L'environnement

Dissertation : L'être Humain Une Menace Pour L'environnement. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  1 Mai 2014  •  1 355 Mots (6 Pages)  •  1 093 Vues

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L’environnement est un sujet qui nous tient pour la plupart à cœur et pour lequel nous voulons trouver des solutions afin d’améliorer sa condition actuelle. L’être humain est le mammifère le plus nombreux sur la terre donc il a beaucoup d’impact sur celui-ci par ses activités. Selon moi, d’un point de vue écologique, l’être humain est donc une menace à la vie sur terre. La planète Terre est de plus en plus polluée par les agissements des humains, de plus elle est surpeuplée et les écosystèmes sont menacés plus les années avancent. Nous ne promettons donc pas un environnement sain pour les générations futures. Avant tout, discutons des positions de Bjorn Lomberg et de David Suzuki. D’une part les êtres humains sont plus ou moins responsables du sort de l’environnement puisque notre échelle des priorités est parfois incorrecte, mais d’un autre côté nous avons le vouloir d’améliorer la situation de l’environnement. Ensuite, d’une autre part, David Suzuki croit que notre monde est mené par le besoin de richesses et de production, ce qui a des conséquences négatives pour l’environnement comme les changements climatiques et le déclin de la biodiversité.

Premièrement, d’après Bjorn Lomberg nous sommes plus ou moins une menace pour l’environnement puisque nous avons le pouvoir tourner les choses dans le bon sens. Tout d’abord, notre échelle des priorités est parfois inadéquate selon lui. Certaines décisions ont été prises sans mesurer les conséquences futures de ses gestes, qui ne sont pas réversibles. En effet, les êtres humains ont fait des choix qui vont poser des problèmes dans le futur. Bjorn Lomberg a écrit dans son livre* ceci : « Donc, nous faisons des choix par rapport à une connaissance incertaine de l’avenir et en fonction de notre tendance à éviter les risques, tout en étant conscients qu’on peut difficilement revenir sur une décision et que celle-ci aura des répercussions sur beaucoup de monde et pendant longtemps » (p.614). Les ravages causés par la pollution sont un exemple parmi tant d’autres de dommages irréversibles. Donc, une bonne échelle des priorités devrait avoir comme but principal d’utiliser nos ressources de manières adéquates en considérant toutes les informations à notre disposition concernant les possibles conséquences. Dans certains cas, la répartition des ressources n’a pas été bien réfléchie et examinée ce qui explique le mauvais état de l’environnement. Ensuite, quand nous avons des craintes au sujet de notre environnement, nos décisions ne se sont pas toujours les meilleures. Beaucoup de décisions ont été prises, car elles étaient satisfaisantes à court terme, mais sans mesurer les conséquences de celle-ci. Bjorn Lomberg a écrit ceci : « Il faut que nous soyons rationnels et prenions des décisions bien réfléchies pour l’utilisation des ressources en ce qui concerne l’environnement aquatique, les pesticides et le réchauffement de la planète… Nous devrions comparer les coûts et les avantages de tels investissements à des investissements similaires dans d’autres secteurs importants de l’activité humaine » (p.615). Aussi, celui-ci dit que le principe de précaution devrait être mis à part, car celui-ci nous pousse parfois à prendre des décisions plus mauvaises que bonnes puisque ce sont les informations à notre disposition qui doivent être prises en considération pour la prise de décisions. Bjorn Lomberg croit donc que nous avons qu’à changer notre attitude face aux problèmes environnementaux et arrêter d’avoir une vision d’apocalypse. Il croit que le monde s’oriente de plus en plus vers la bonne direction, si nous continuons de nous concentrer sur une échelle des priorités raisonnable. Il souligne également qu’être trop pessimiste coûte parfois beaucoup plus cher que d’être optimiste.

Deuxièmement, selon David Suzuki, nous sommes définitivement responsables du mauvais état de la Terre. Tout d’abord, les activités humaines dérèglent beaucoup le système de régulation climatique de la planète. Les changements climatiques sont un des défis écologiques les plus effroyables à surmonter pour la planète Terre. David Suzuki a écrit dans son livre* ceci : « L’agriculture et la déforestation (résultants de la multiplication des fermes, de la production de bois et de pâtes et papiers ainsi que l’étalement urbain) sont d’autres grandes causes des

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