L'idée D'inconscient Exclut Elle l 'idée De Liberté ?

On est libre à partir du moment où nous pouvons décider de nos actes et de notre conduite nous somme alors maître de nos faits et gestes. Mais si on est sous la domination d ‘un individu ou d’une force quelconque : nous ne faisons plus ce que nous voulons, nous nous contentons de suivre une contrainte notre liberté est alors limitée. L’inconscient exerce cette contrainte sur chacun d’entre nous. Il regroupe l’ensemble des phénomènes de la vie psychique qui échappent à note conscience tout en ayant une influence profonde sur notre comportement.

Pour répondre à ces questions nous allons nous intéresser a de la perception qu’on a de la liberté et a l’importance de l’inconscient dans notre vie .

Dans l’imaginaire collectif nous croyons être libre si notre corps ou notre esprit ne sont pas emprisonnés . Nous pensons que notre liberté dépend des autres c’est-à-dire qu’il n’y aurais qu’autrui qui serait capable de nous privé de la liberté de nous retirer ce bien qui nous est si précieux. D’ailleurs nous avons créé la justice pour priver ceux qui ne respectais la loi d’une certaine liberté .

L’idée qu’on se fait de la liberté est fausse car nous nous considérons comme les seuls maitre de notre pensée nous ne prenons pas en compte l’inconscient . Nous pensons être à l’origine de notre pensé , cette dernière donnerais naissance à des actes réfléchies et prémédités. Ce qui voudrais dire toutes les actes qu’on pauserais serait cohérents du point de vue de notre pensé , or ce n’est pas le cas . Il nous arrive régulièrement de commettre des actes dénués de sens ou inappropriés à la circonstance qu’on appelle lapsus ou actes manqués.

Ainsi il se constitue de tout ce qu’on refoule et qu’on ne peut par conséquence percevoir bien qu’ils puissent se manifeste à travers nos actes, et nos mots … Il pourrait ainsi s’opposé à nos choix et détourner nous actes de leurs buts premier.

La liberté serait alors une illusion, mais n’aurait-elle pas un autre sens que celui qu’on a l’habitude de lui conférer?

Mais pouvons-nous nous considérer soumis à quelque chose dont nous n’avons pas conscience, et qui exercerait sur nous une contrainte qui nous échappe?

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