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Jean-Jacques Rousseau

Étude de cas : Jean-Jacques Rousseau. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  9 Décembre 2014  •  Étude de cas  •  1 239 Mots (5 Pages)  •  698 Vues

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Introduction :

Dans notre société, on doit se questionner sur ce qu’est-ce qu’un bon mode de vie. Le mode de vie inclut les valeurs, les priorités ainsi que les objectifs de la société. Jean-Jacques Rousseau ainsi que Karl Marx se sont questionnés en profondeur sur la société humaine. Plus précisément, sur les inégalités des classes sociales provenant de la culture des êtres humains. Ces deux philosophes ont leur propre vision de ce phénomène. De ce fait, une question se pose : peut-on réellement s’épanouir en société? Ils expliquent dans le discours sur l’inégalité parmi les hommes ainsi que dans le manifeste communiste, leurs points de vue ainsi que les ressemblances et différence par rapport à leurs idées.

Jean-Jacques Rousseau

D’une part, Rousseau dans le discours sur l’inégalité parmi hommes, traite de la différence entre l’homme à l’état de nature ainsi que de l’homme en société. Selon lui, c’est la nature qui crée l’homme égal et libre. Dans l’état de nature, l’homme a des besoins primaires qui se limitent à manger, boire, dormir et aux relations sexuelles. Il possède des passions très simples soit l’amour propre qui ne se définit pas le désir de sa conservation ainsi que la pitié qui se définit par l’incapacité à voir souffrir ses semblables. C’est passions sont de nature instinctives. Par ailleurs, avec le temps, l’homme ressent le besoin de se tenir en communauté, et ce, pour augmenter ses chances de survie. C’est à partir de cet instant que l’homme changea complètement. Il n’est plus naturel et agit dans l’intérêt d’être le meilleur et passe son temps à se comparer. Ensuite, l’être humain délaisse l’amour propre pour l’amour de soi-même. L’être humain en société devient égoïste et met relativement la pitié de côté pour subvenir à son propre intérêt. Selon Rousseau, le rassemblement de l’humain sous forme de société mène à la dépendance, à la servitude ainsi qu’à l’inégalité. Rousseau affirme que la véritable origine de l’inégalité est la propriété privée « Le premier qui, ayant clos un terrain, s’avisa de dire : ceci est à moi, et trouva des gens assez simples pour le croire, fut le vrai fondateur de la société civile ». Autrement dit, l’environnement n’appartient à personne, la propriété privée est l’appropriation de bien qui est en réalité des biens communs. De plus, l’être humain doit se conformé à des règles ce qui ne le rend pas totalement libre, je parle ici du concept des lois, expression et déclaration de la volonté générale. En sommes, Rousseau serait d’avis que nous ne pouvons pas totalement nous épanouir en société, et ce parce que la vie en société nous rend moins bons. Le fait de toujours ressentir le besoin de se comparer ainsi que de devoir constamment respecté des règles limite le développement de nos aptitudes, de nos talents ainsi que nos possibilités.

Marx

D’autre part, Marx nous fait voir son point de vue sur l’influence de la culture sur la société voir le matérialisme historique. Selon lui, l’évolution de la société se définit par leurs bases matérielles. En d’autres mots, il nous est possible de : « définir une société par sa structure économique ». Pour sa part, l’être humain doit en premier lieu, comblé des besoins primaires et ensuite elle se crée des besoins, et ce par la production. C’est ici que la culture devient importante étant donné que c’est cela qui va déterminer qui contrôlera la production. De ce fait, les gens les plus cultivés sont dominants. La production divisera la société en deux classes sociales soit celle des Bourgeois et celle que Marx appelle les prolétaires, qui sont plus précisément la classe ouvrière. De ce fait, les gens instruits dominent les gens qui ne le sont pas ce qui amène à des rapports

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