Expression écrite Sur L'objet

Expression écrite : Thème l’OBJET

Un objet est une entité définie dans un espace. Il est soit naturelle (une pierre), soit fabriquée par l'homme (un produit manufacturé) qui a une fonction plus ou moins précise, désignable par une étiquette verbale (un nom).

Toutefois, une question subsiste : l’objet aliène-t-il l’Homme ?

I- L’objet peut aliéner (asservir, rendre à l’état d’esclave) l’Homme

a) L’objet est utile (ou indispensable)

b) C’est une distinction sociétale

Distinction culturelle et économique : (référence : Jean BAUDRILLARD dans son œuvre « Théorie de la consommation » = selon lui la satisfaction issue de l’objet est une leurre : les désirs ne cessent de croitre et les objets se multiplier. L’homme essaye juste de se différencier et d’exister à travers eux).

Distinction de sexe et genre : Ref : A la photo de la série The Pink and Blue Project de la photographe JeongMee Yoon : elle questionne à la fois la société de consommation et les normes sexuelles et sociales auxquelles sont soumis les enfants.

c) L’objet est à l’image de son possesseur : il peut créer une certaine affinité entre lui et son possesseur

- Sans objet on ne peut rien faire

- L’objet est utile

- La qualité de l’objet est valorisante

- L’objet est concret

- L’objet peut être à l’image de son propriétaire

- L’objet peut être un compagnon inébranlable : il est « fidèle » L’objet est amorphe (éteint : sans émotion)

II- L’objet aliène l’Homme mais

II- Mais on peut aussi dire que c'est une libération.

A) L'objet permet à l'homme de s'exprimer : (Ref. : Il concrétise la pensée : il est l'extension du bras cours de français)

B) Liberté physique ?

C) Il peut être considéré comme une matérialisation de la mondialisation : Les objets connecté

D) L'objet lui-même peut être au service de l'homme : Il peut par exemple l'aider à se rappeler de certains événements qu'il ne veut pas oublier (ref. Auteur..)

Intro :

Un objet est une entité définie dans un espace. Il est soit naturelle (une pierre), soit fabriquée par l'homme (un produit manufacturé) qui a une fonction plus ou moins précise, désignable par une étiquette verbale (un nom). Toutefois, une question subsiste : l’objet aliène-t-il l’Homme ? Nous verrons dans un premier temps que l’objet peut aliéner l’homme, puis nous observerons qu’il peut l’aider à se libérer, à s’ouvrir.

Analysons donc en quoi l’objet aliène l’Homme.

Tout d’abord, l’objet asservit car il est utile ou plutôt indispensable. En effet, on peut voir que l’objet a deux fonctions ; la première est l’utilité. L’objet est empiriquement un outil, façonné ou non par l’Homme, qui facilite ses rapports avec son environnement. Du silex, objet incontournable pour couper les aliments récoltés de la chasse, à l’automobile, machine utile pour une mobilité plus efficiente, l’objet connait une utilité sans pareil. C’est cette utilité qui est susceptible d’aliéner l’Homme, puisqu’il pourrait voir en l’objet un potentiel substituant à «sa force de travail ». De surcroit, on peut affirmer que la seconde fonction de l’objet est la satisfaction ; l’objet fétiche (qui donne un agréable sentiment). Dans la chanson La Complainte du progrès de Boris Vian, on peut entendre à quel point les êtres humains ont besoins de « biens de consommations plus fantaisistes les uns que les autres » pour espérer un point de satiété à son maximum ; pour tendre à la satisfaction. Cette espérance forme un asservissement à l’image du bébé qui attend sa tétine pour ne plus pleurer. Ainsi nous avons pu observer deux fonctions qui caractérisent l’objet, et deux fonctions qui évoquent l’aliénation chez l’Homme.

De plus, on peut constater que l’objet rend l’Homme en quelque sorte dépendant de lui, puisqu’il (l’objet) est signe de distinction sociétale. En effet, selon l’auteur Jean BAUDRILLARD dans son œuvre, « Théorie de consommation », est exprimé que la satisfaction issue de l’objet est un leurre car les objets ne cessent de se multiplier juste pour pouvoir différencier leurs possesseurs. En d’autres mots, selon lui, l’objet distingue culturellement

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