LaDissertation.com - Dissertations, fiches de lectures, exemples du BAC
Recherche

Structure de l'arborescence des fichiers de l'ordinateur

Analyse sectorielle : Structure de l'arborescence des fichiers de l'ordinateur. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  2 Décembre 2014  •  Analyse sectorielle  •  840 Mots (4 Pages)  •  888 Vues

Page 1 sur 4

En mathématiques, plus précisément dans la théorie des graphes, une arborescence est un arbre comportant un sommet particulier , nommé racine de l'arborescence à partir duquel il existe un chemin unique vers tous les autres autres sommets.

Structure arborescente de fichiers informatique

En informatique, cette notion désigne souvent celle d'arbre de la théorie des graphes[1]. Une arborescence désigne alors généralement une organisation des données en mémoire, de manière logique et hiérarchisée utilisant une structure algorithmique d'arbre. Cette organisation rend plus efficace la consultation et la manipulation des données stockées. Les usages les plus courants en sont :

l'arborescence de fichiers, qui est l'organisation hiérarchique des fichiers sur une partition, et dans certains cas de partitions entre elles, par exemple: partitions virtuelles (« lecteurs logiques ») dans des partitions réelles.

le tri arborescent en mémoire

les fichiers en mode séquentiel indexé

La logique générale de l'arborescence coïncide avec le modèle relationnel du SQL : 1 vers N et réciproquement 1 vers 1. Un nœud peut posséder N feuilles, mais chaque feuille ne possède qu'un seul nœud.

Usage pour la gestion des disques

À la base d'une arborescence se trouve un répertoire appelé la racine. Ce répertoire peut contenir des fichiers et des répertoires, qui eux-mêmes peuvent contenir la même chose.

Si les fichiers et les répertoires sont placés de manière cohérente, la recherche de fichier est relativement aisée et rapide.

Les différentes façons de linéariser une arborescence

Le gros problème est qu'une arborescence est souvent représentée sous la forme d'un arbre graphique et que le langage et l'écriture classique sont linéaires. Depuis longtemps, différents types de représentation coexistent, selon la méthode de parcours utilisée et le domaine d'application.

Arité

Plus simplement, l'arité indique le nombre d'arguments ou d'enfants utiles ou nécessaires à une fonction ou un parent. Ainsi dans 10+20, l'addition (+) a besoin d'un terme à gauche (10) puis d'un autre à droite (20), son arité est donc de 2. Dans abs(mavar), la valeur absolue n'a besoin que d'un seul argument (mavar), son arité est de 1. En Prolog, la clause pere(alain,bernard). a une arité de 2 car la relation "pere" exige un parent et fatalement un enfant.

L'arité peut être fixe comme elle peut être variable. Ainsi l'opérateur * est d'arité fixe à 2 dans la plupart des langages informatiques, on écrit 2*3 pour exprimer un calcul. Par contre, en Lisp, on peut écrire (* 2 3 4) pour exprimer 2*3*4 ou bien (* 2 3 4 5) ce qui est une arité variable.

Types de parcours

Préfixe

Dans ce mécanisme, le parent est mis en premier, puis suivent ses enfants. L'ordre/commande est par devant, les éléments complémentaires ensuite. Voir aussi l'exemple linguistique VSO. Exemple : + 2 3

Cette notation est simple à comprendre pour l'être humain et se programme facilement.

Infixe

Dans ce mécanisme, le parent est inséré entre ses enfants. Les Mathématiques et la logique humaine procèdent souvent ainsi. Sujet Verbe Complément. Exemple : 2 + 3

Le gros problème de l'infixe est l'ambiguïté et on doit souvent recourir à des parenthèses. Ainsi 10+20*30 doit-il s'analyser comme (10+20)*30 ou comme 10+(20*30) ? Pour lever une partie des difficultés, il existe une priorité des opérateurs dans bon nombre de langages.

Suffixe

Le

...

Télécharger au format  txt (5.8 Kb)   pdf (85.7 Kb)   docx (10.8 Kb)  
Voir 3 pages de plus »
Uniquement disponible sur LaDissertation.com