Les échanges
Mémoire : Les échanges. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar EmilieF • 27 Février 2014 • Mémoire • 1 191 Mots (5 Pages) • 759 Vues
La société, a l’heure actuelle, est évidemment basé sur des échanges. Nous travaillons, servons l’intérêt ou les intérêts d’une personne, pour qu’à notre tour cette personne serve notre intérêt d’une manière qui nous sera profitable. Nous donnons pour recevoir à notre tour. Ainsi se crée des richesses, des besoins, d’autres intérêts à servir, … Et les échanges s’accroissent et sont omniprésent. Mais cet accroissement est-il synonyme de progrès pour l’humanité ? Nous allons tout d’abord nous demander qu’elles sont les différents types d’échanges qu’il existe, les quels sont synonyme de progrès.
De manière générale «échanger» consiste à céder un bien ou un service, parfois dans une perspective de réciprocité. L’acte d’échanger met en évidence un rapport entre deux personnes ou deux parties. Mais existe-t-il plusieurs sortes d’échanges ?
Nous pouvons dès à présent distinguer deux types d’échanges. Commençons par les échanges économiques : Ils représentent les échanges matériels, on échange des objets, je concède un objet à une personne, car cette personne possède un objet qui m’intéresse et est elle-même intéressé par mon objet. C’est donner, afin de recevoir en retour. Par exemple, je collectionne les timbres, je te donne un des miens, car je l’ai en double, il n’a donc aucune valeur pour moi, et tu me donnes un des tiens. Les deux personnes y trouvent un intérêt personnel.
Il existe également un autre type d’échange, des échanges immatérielles qui ne se base pas sur la réciprocité, ni sur l’intérêt personnel. Par exemple, échanger des informations, des émotions, communiquer, … Ce n’est pas un objet, et l’on n’attend pas forcement quelque chose en retour. C’est très éloigné du troc. On donne, non pas pour satisfaire ses besoins, mais pour satisfaire les besoins d’autrui. Par exemple on peut partager une culture. La personne qui enseigne les rituels n’y trouve pas d’intérêt personnel mais elle enrichit son interlocuteur.
Mais ces échanges sont t’ils tous bénéfique pour l’humanité ?
Bien sûr, grâce aux échanges économiques, de nombreux progrès on était réalisé en matière de commerce. Si l’ont désire quelque chose et qu’on souhaite se séparer d’une autre, on peut être sur qu’une autre personne sur cette terre voudra acquérir ce que l’on ne veut plus et se séparer de se qu’elle ne veut plus. Par exemple avec l’aide des sites comme ebay ou le bon coin, beaucoup de désires peuvent être satisfait, l’économie avance, progresse et s’amplifie réellement grâce aux échanges économique. Selon Adam Smith (considéré comme le premier économiste moderne), l'individu est dans l'incapacité de satisfaire tous ses besoins. Je ne peux les satisfaire que si j'obtiens qu'un autre fasse ce que je ne sais pas faire : il sera alors possible d'échanger le produit de mon travail contre le produit du travail d'un autre. Or, pour qu'autrui accepte l'échange, il faut qu'il éprouve, lui aussi, le besoin d'acquérir ce que je produis : il est donc dans mon intérêt propre que le plus de gens possible aient besoin de ce que je produis. Comme chacun fait de son côté le même calcul, il est dans l'intérêt de tous que les besoins aillent en s'augmentant. En partant du point de vue d’Adam Smith la richesse et les progrès se trouveraient dans les échanges et le savoir-faire, et dans la subdivision. L’accroissement des échanges serait donc bénéfique.
Mais les échanges économiques nous servent à obtenir ce que l’on n’a pas : ils incitent alors à la consommation voir à la surconsommation. On ne sera jamais satisfait de ce que l’on a, et même si on l’est, il y aura toujours quelqu’un pour nous proposer mieux (mais il y verra seulement son
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