Le Langage
Mémoires Gratuits : Le Langage. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar anglik0771 • 3 Novembre 2013 • 1 337 Mots (6 Pages) • 909 Vues
Le langage numérique a déclenché une véritable révolution dans les moyens d’expression. Certains s’en amusent, les doigts courant sur un clavier à longueur de journée avec toutes sortes de nouveaux langages. D’autres le craignent, comme on craint les intrus dans sa maison, comme si les adeptes du virtuel allaient faire voler en éclats la traditionnelle langue française. Toute prise de parole appartient à des règles codifiées, c’est le cas des échanges électronique qui permet des modalités nouvelles de divertissement.
On s’interrogera ainsi sur le bienfondé aux préjugés auxquelles se heurte les biens d’échanges non traditionnelles.
Les différentes formes de langages abordées s’inscrivent toutes dans un mode de communication qui peuvent s’apparenter à celui de la conversation orale. Pour répondre à cette problématique nous avons en notre possession quatre documents. L. MUNDSCHAU présente dans son ouvrage La Libre Belgique, L’art du « parlécrit » datant de 2004. J.DAVID et H.GONCALVES présent aussi dans La France D’aujourd’hui, L’écriture électronique, une menace pour la maitrise de la langue ? de 2007. C. LORET auteur de Langage d’écriture et langue orale sur Internet sur le site internet ressources-cla.univ-fcomte.fr en 2004. Enfin nous avons affaire à un entretient de G.COHEN avec E.LABORIT interpeller La conversation, un art de l’instant, dans l’ouvrage Jeux de mains, jeux de vilains ? de 1999.
Les approches bien distinctes de ces auteurs nous permettrons de mettre en avant les caractéristiques, normes et usages du langage. Pour ensuite se rende compte que ces évolutions du langage est un art.
Depuis que les technologies ne cesse d’évoluer, le numérique nous a permis de pouvoir communiquer entre nous en quelques secondes même à des centaines de kilomètres. Laurence MUNDSCHAU met en évidence une curieuse langue que les utilisateurs de la messagerie instantanée on inventer pour soit disant facilité et accélérer ces échanges. En effet elle qualifie ce langage de « parlécrit » car il est l’association du code orale et du code écrit ; « ce mélange d’oral et d’écrit est propre à toutes les « communications médiées par ordinateurs (forums, chats, courriers électroniques) ». Christian LORET rejoint cette idée, en ajoutant que ce mélange de langue parlé et écrit ne cesse d’évoluer pour devenir une sorte d’oralisation de l’écrit pour les échanges électroniques. Pour terminer monsieur LABORIT et monsieur COHEN nous précise que ce nouveau langage possède bien des caractéristiques équivalentes à la langue orale.
Toutes formes de langages donnent naissance à une langue. Peut-on alors parler de nouvelle langue pour le « parlécrit » ? Premièrement on sait qu’une langue se constitue à partie d’un langage élaboré et reconnue. Laurence MUNDSCHAU nous précise que ce langage est de registre très familier et donc ne peut pas s’utiliser pour parler a tout type de personnes. Le document 2 nous permet d’ajouter la présence de langage imagés pour un gain de temps « vs aV le tps pour un Kfé ? » pour vous avez le temps pour un café ? Cependant pour rassurer les utilisateurs du français traditionnel, C. LORET nous précise que ce langage est pour l’instant présent sur les ordinateurs et téléphone. Mais le document 4, nous dit aussi que de nouveaux mots ou expressions enrichi le dictionnaire. La question de langue pour qualifier le « parlécrit » reste mitigée. Centrons-nous maintenant sur les modalités de la conversation, sa créativité et l’enrichissement que peut apporter une nouvelle langue aussi bien le « parlécrit » que la langue des signes.
Pour clore notre première idée nous allons que les modalités de ces conversations sont multiples. En effet le « chat » qu’on trouve de plus en plus sur internet et un « lieu » ou les utilisateurs peuvent se parler en quasi direct. C’est-à-dire que lorsqu’une personne écrit quelque chose et l’envoi, le destinataire reçoit en une seconde le message
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