La génétique

Aujourd'hui les hommes maîtrisent la génétique. Diagnostic préimplantatoire, utilisation de tests d’ADN dans les enquêtes policières ou les reconnaissances en paternité, clonage d’animaux, recherches sur les cellules souches embryonnaires en vue de réaliser des greffes ou de soigner des cancers incurables… En quelques décennies, la génétique s’est intégrée dans nos sociétés. Parfois en provoquant le scandale, comme à l’annonce de la naissance de Dolly, la première brebis clonée en 1996. Que ce soit un avis positif ou négatif, on dois pouvoir comprendre la complexité de ce débat. Quelle place doit-on donner à l’expérimentation scientifique dans notre société ? Doit-elle demeurer libre d’exécution ou doit-on instaurer un frein à la recherche notamment par un questionnement éthique ?

La recherche scientifique a permis à l’homme d’élever sa condition de vie et continue de favoriser l’évolution de la société dans laquelle nous vivons. Dans la limite de certaines règles bioéthiques, la science est plutôt libre.

-Elle pourrait dans un futur proche permettre de sauver encore plus de vies (ex : clonage thérapeutique qui pourrait permettre une autoréparation des corps malades).

-En effet, la science donnerait aussi la liberté aux hommes de pouvoir choisir leur avenir ainsi que celui de leurs enfants (ex : eugénisme)

- Et si le moyen de remédier à l’affaiblissement génétique de l’espèce humaine était de créer des humains génétiquement modifiés ayant des capacités supérieures : capacités physique, intelligence, mémoire, durée de vie, etc > plus grande productivité, davantage de temps libre, davantage de découvertes scientifiques, meilleure gouvernance, moins de maladie, etc. On pourrait éventuellement se poser la question de la modification génétique de l'humain > est-ce un moyen d'améliorer le niveau de vie des générations futures ? 

...