Synthèse sur la lenteur

Ronaldine

Leclesiaste    

BTS SAM      

DST

SI ON RALENTISSAIT

La modernité rime souvent avec la rapidité mais comme la fable nous dit : ça ne sert à rien de ce précipité, en réalité les bonnes raisons de ralentir c’est de prendre le temps de contempler. Le terme de la lenteur n’est pas un terme qui définit proprement parlé par conséquent. Les différents auteurs ont essayé de définir ce terme selon leurs idées.

Ils nous invitent à nous interroger sur la fonction que la lenteur permet-elle de nous découvrir soi-même et découvrir le monde ?

Nous verrons dans un premier temps comment la société de la performance fonctionne, en deuxième temps nous allons voir par quel moyens notre société accepte la lenteur, puis nous verrons comment ralentir pour découvrir le monde.  

La société et la performance sur la vitesse. En effet, aller vite c’est d’être reconnu dans la société. Dans le document de Anne-laure Gonnac, Mon psychologie publier le 05/04/18, l’auteur constate qu’aller vite afin de prouver sa valeur et enfin une certaine reconnaissance de ses capacités, les valeurs sont à la fois celles du travail mais aussi celle que la société dans laquelle nous évoluons. Oxmo Puccino confirme cette idée dans sa chanson Slow life paru en 2015, il déclare, il est question de faire vite dans un monde qui nous pousse à le faire. Il démontre que nous avons de tout temps appris à aller vite, en se demandent pourquoi cette vitesse nous est-elle imposée et pour quelle raison.

Toute fois les certains auteur récusent l’aspect selon laquelle aller contre sois, ses idées, sa nature. Selon Oxmo Puccino, Slow live paru en 205, la vie moderne c’est aller vite et fuir on ne prend pas le temps de contempler la vie qui nous en tour. Cet avis est partagé par Anne-laure Gonnac, toujours besoin d’aller vite car c’est une valeur positive véhiculée par nos société moderne. Selon David Breton, Marcher. Éloge des chemins de la lenteur paru en 2012, le monde dans laquelle nous évoluons, dans lequel rien ne se fait sans la notion de performance. Il démontre que dans la société dans laquelle on se persuade que rien faire reviendrait à être désespéré. Un monde dans lequel il faut aller toujours plus vite, où l’on existe que par la performance et le rendement ne peut nous satisfaire, il a été prouvé que le taylorisme à ses limites.  

Mais la suite des documents dépasse ce simple constat en avançant l’idée d’accepter la lenteur.

La marche est bénéfique. D’après David Breton, Éloge des chemins de la lenteur paru en 2012, il fait ressortir que la marche peut être le moyen d’un lâcher-prise en ce sens où elle ne doit pas être performative, marcher pour le simple plaisir. Cet avis est partagé par Paul Bury, Lenteur et Esthétisme publié en 2015 qui démontre à travers son travail le mouvement véritable de la lenteur. D’après Mon psychologies paru en 2012, il faut reconnaitre que la vitesse ne permet pas de voir le monde comme il le faudrait, qu’aller vite c’est passer à coté des moments semple mais souvent essentiels.

Ces idées conduisent les auteurs à analyser l’environnement en ralentissent pour percevoir. O. Puccino partage cette idée en disant il faut apprendre à écouter, comprendre ce qui nous entourent et prendre le temps. Anne-Laure Gonnac illustre la thèse, ralentir est parfois nécessaire et c’est même notre corps qui nous l’impose. Soutenu par O. Puccino , la vie moderne n’est pas porteuse de valeur véritables, elle n’est  que la mise en place de la fuite du temps et donc sa perte. Accepter aussi que là n’est pas synonyme de performances, tout ne doit pas se jouer autour de cette notion ultime. Lenteur et Esthétisme Paul bury, d’écrit dans sa sculpture cinétique, des mouvements d’ombre comme si cela donnait à voir l’infini et cet infini mit en place par la lenteur.  

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