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Le Beau, l'art

Cours : Le Beau, l'art. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  17 Mars 2013  •  Cours  •  453 Mots (2 Pages)  •  1 166 Vues

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distinction de [3 mots] ce qui est sensible dans un objet d’art, d’avec la sensibilité dans un objet naturel – l’élément sensible dans le premier doit s’adresser purement à l’esprit – désintéressement de la part du sujet qui le perçoit, le désir au contraire provenant de l’effet d’un objet naturel détruit l’objet pour le faire servir à son usage. – Il diffère de la science en ce qu’il s’intéresse à l’objet comme individuel sans pouvoir le transformer en idée générale. Ce que l’esprit cherche dans un ouvrage d’art ce n’est ni la réalité matérielle que veut le désir, ni l’idée dans sa généralité abstraite, mais un objet sensible dégagé de tout l’échafaudage de la matérialité – Chez l’artiste, même partie d’élément sensible ; c’est l’esprit qui est en jeu mais de manière à renfermer en lui-même le moment de la sensibilité. L’élément de l’intelligence et celui de / f° 4 v° et la fatalité, les intérêts particuliers et les intérêts généraux etc. Hegel pense que cette opposition constitue la vérité même, le fond et l’essence de toutes choses, le but suprême de l’univers est la solution que donne Hegel au problème fondamental de toute philosophie et par conséquent aussi à la question morale, solution qu’il revendique en faveur de l’art dans l’hypothèse qui lui donne pour but le perfectionnement moral. – Dans toutes les doctrines énoncées, l’art est relatif à quelque chose qui lui est étranger – l’art est appelé à manifester la vérité sous la forme de la représentation sensible. À ce titre, il a son but en lui-même dans cette représentation et cette manifestation

Développement – Kant admet comme caractères du beau : Historique de la 1° plaisir qu’il procure est désintéressé véritable idée de l’art 2° le beau nous apparaît comme objet d’une puissance générale, sans éveiller en nous la conscience d’une idée abstraite et d’une / f° 5 Catégorie de la raison à laquelle nous rapportions notre jugement

3° le beau doit renfermer en lui-même le rapport de conformité à un but mais de manière que ce rapport soit fait sans que l’idée de but s’offre à notre esprit.

4° quoiqu’il ne soit pas accompagné d’une idée abstraite, le beau doit être reconnu comme objet d’une puissance nécessaire (voir p. 56)

Schiller avait déjà réclamé l’union et la conciliation des deux principes < voir p. 57 > : l’éducation esthétique doit intervenir pour opérer la conciliation des deux principes car selon Schiller, elle a pour but de façonner et de polir les penchants et les inclinations, les passions de manière à ce qu’ils deviennent raisonnables et que d’un autre côté la raison et la liberté sortent de leur caractère abstrait s’unissent à la nature, la spiritualisent, s’y incarnent, et y prennent un corp

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