Esthétique

Esthétique

Lundi 16 septembre 2019

Partiel : dissertation vague pour prendre le sujet comme on veut (être sincère pas ennuyeux)

Note d’oral : un petit entretien par personne

14 octobre : prof absent

Séminaire de l’HDA à la Sorbonne, comporte 5 séances en tout : « Théorie de l’image : l’écran ». Mercredi soir 30 octobre, 20 novembre, 19h30

La théorie de l’image ne relève pas que de l’art, des œuvres d’art mais est né dans le contexte de l’histoire de l’art. Franc-Astel, Hubert Klamish, Boehn, Belting, Bredekamp.

La science de l’image est issue de l’histoire de l’art mais s’en est séparée. La discipline de l’histoire de l’art s’est élargie, n’est pas close ni précisément définie. Délimitation arbitraire de ne chosiir de s’occuper que de l’histoire de l’art, on préfère s’occuper de toutes les images, plus globalement. Par exemple, la science de l’image peut aborder le sujet de l’image dans les sciences. Un champ de plus en plus grand, de plus en plus déficile à saisir.

Science plus ancienne : sémiologie (=science du signe, sema = signe en grec). Père fondateur de la sémiologie : Charles Peurse ( ?). Dans cette théorie du signe permet de concevoir l’image dans un signe. Une lettre est un signe, un signe peut être une image, mais image et lettre ne fonctionne pas toujours pareil, différence de fonctionnement.

La lettre est un type de signe appelé symbole. Le signe qui révèle un « dessin » est un autre type de signe : l’image. Un index est un troisième type de signe qui n’est pas figuré directement. Avec ces termes, la question de l’image prend un peu contour.

Si on admet que la sémiologie est le domaine auquel on confit la science de l’image. Wiesing a pour grande thèse que l’image n’est pas un signe : un signe pour lui sert à montrer quelque chose, fait signe, signale quelque chose. On peut utiliser l’image pour signaler quelque chose, mais l’image n’est pas un signe pour autant.

N Goodman, philosophe analytique américain a travaillé en tant que marchand d’art. Il a commencé comme phénoménologue de la perception. Les langues de l’art, 1976 et Les chemins des mondes. (Lire les livres). Il élabore lui aussi une théorie du fonctionnement de l’image, le signe

Il y a eu une discussion en 2009 entre 2 protagonistes, S. Boehm et William Mitchell. Ils ont forgé un terme qui a eu beaucoup de retentissement, le « pictorial term» et le « iconic term ». Les sciences de la culture, de l’esprit ne fondent plus aujourd’hui comme les sciences du languages, de l’analytique. Il n’y a plus de point de départ à analyser. Pictorial versus iconic, two letters. Ces deux protagonistes s’entretiennent sur ce qu’ils ont fait dans ces lettres. https://fr.wikipedia.org/wiki/Tournant_iconique

Fra Bartolommeo. Le traité du signe plastique, klinkenberg et deux autres chercheurs est un traité qui explique le fonctionnement du signe plastique. Schoenberg est un musicien, le fondateur de la musique atonnal,

Méthode d’approche de l’analyse de l’image : la différence iconique de BUlm. Woelfflin décrit la différence entre le style de la peinture de la peinture baroque. Deixis fonctionnelle

Le Sophiste de Platon, 237-240 : un texte sur le néant, il définit ce qu’est une image. Mais il n’y arrive pas…  http://novellette.fr/page-8637751.html

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