L apologie de socrate

Philosophie

L’apologie de Socrate

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Le sujet désigne l’individu singulier vivant qui peut dire je c’est-à-dire qu’il peut rapporter à lui c’est sensation, c’est sentiment, c’est acte et c’est pensé. Le sujet c’est a priori un être qui sen, éprouve, agis, pense, etc…  il doit donc être distinguer de l’objet.

Est dit subjectif ce qui se rapporte aux sujet, « objectif » ce qui se rapporte à l’objet. Pour être un sujet pour pouvoir dire je encore faut-il posséder la conscience.

Ques que la conscience ?

Y a-t-il diffèrent type de conscience ?

Diffèrent degrés de conscience ?

La conscience phénomène proprement humain ou peut on attribuer une certaine conscience aux plante aux animaux et aux bot ?

La conscience

Définition initiale : la conscience est une fonction cérébrale comme la perception, le langage, la motricité mais à la différence de ces fonction elle ne semble pas localiser dans une aire cérébrale. Un petit nombre de scientifique espère encore la découvrir dans un lobe du cerveau mais la plupart la considère comme une fonction globale émergeant certes d’activité cérébrale complexe mais non produite directement par le cerveau.

Si on n’est pas encore capable de définir de manière satisfaisante la conscience on peut toutefois distinguer différente manière d’être conscient et d’écrire les différente activité de la conscience.

1. La conscience perceptive

1. Conscience et présence :Husserl

1. C’est grâce à elle que les choses et les êtres existent pour nous
2. Cette état de conscience s’oppose à l’état d’inconscience qui ,caractérise par exemple l’évanouissement. Cet conscience perceptive, Husserl affirme qu’elle est « rapport à » c’est-à-dire qu’elle vise toujours qu’elle que chose ou qu’elle qu’un. Elle est conscience du monde, des autres, etc… elle nous met en relation avec le monde et les êtres c’est pour cette raison que Husserl « conscience intentionnelle ». non seulement cette conscience nous mais en relation avec le monde mais elle construit la perception du monde que nous avons. Toute perception est une construction par exemple je ne verrais jamais d’un seul regard les 6 faces d’un cube. Il faut que ma conscience fasse la synthèse des diffèrent moment perceptif pour construire ma représentation du cube

1. Une présence susceptible de varier en intensité  

1. On peut observer diffèrent niveau de conscience, c’est-à-dire que la conscience peut être plus ou moins vive. Exemple de faible conscience : endormissement, rêverie, distraction. Par opposition il existe des états de consciences vive exemple : vigilance, concentration, réflexion etc… On peut remarquer que la conscience travail à construire des plans. Elle met aux point certaine chose et repousse aux second et aux troisième plan d’autre chose

1. Conscience et temps : Bergson philosophe français  

1.  La perception, l’attention à la vie serait la première fonction de la conscience mais cette fonction ne pourrait pas s’accomplir sans mémoire. Une conscience qui serait réduite à l’instant, ne serait pas une conscience. Retenir se qui n’est déjà plus anticiper ce qui n’est pas encore voila la fonction de la conscience. « la conscience est un très d’union entre ce qui à été et ce qui seras. Un pont jeté entre le passée et l’avenir ». « assis à ma table de travail, j’entend dans le lointain un chien qui aboie ; a vrais dire ce n’est qu’un son d’une certaine qualité qui vient frapper ma conscience mais grâce à l’expérience passer que j’ai accumulé le son est identifier il prend un sens pour moi » Bergson. Percevoir, pour Bergson c’est se souvenir. Bergson établie dans sa philosophie le lien entre conscience mémoire. Remarque : pour lui la conscience et en premier lieux, la fonction du réel, elle est centrer sur l’action, elle est essentiellement pragmatique, elle permet de survivre.

1. La conscience réfléchie ou « savoir »

1. Un savoir qui sépare

1. Le mot conscience vient de l’expression latine cum scientia qui signifie avec savoir, accompagné de savoir. La pierre dans laquelle je mets un coup de pied roule mais elle ne sait pas qu’elle roule. L’herbe haute agiter par le vent bouge mais ne sais pas qu’elle bouge. En ce sens être conscient signifierais aux contraire savoir que je roule où savoir que je bouge.
2. Or ce savoir me sépare de l’objet de mon savoir. Être conscient de la trousse sur ma table suppose que je me rapporte à la trousse mais également que je m’en différencie. Sartre dit qu’être conscient d’une chose c’est ne pas être la chose, c’est se poser soit même à coter de la chose comme autre qu’elle.
3. Pour Sartre avoir conscience de soit c’est se décoller de sois, ce regarder comme on regarde un autre. De ce fait ne nous coïncident jamais parfaitement avec nous-même, a la différence des choses. Nous somme toujours à distance de nous mais aussi du monde et des autres, c’est la raison pour laquelle nous éprouvons parfois le sentiment que le monde nous est étranger, que les autres nous sont étranger et même que nous somme étranger à nous même.

1. Une conscience qui semble être une spécificité humaine

1. Contrairement à l’animal qui semble étroitement lie à la nature l’homme cherche à s’émanciper. C’est ce qui fait selon pascal à la fois sa grandeur et sa misère. La misère de l’homme qui se demandent pourquoi il vit, misère de l’homme qu’il c’est qu’il vas mourir mais aussi grandeur de l’homme pars qu’il sait
2. L’homme n’est qu’un roseau, le plus faible de la nature ;mais c’est un roseau pensant. Il ne faut pas que l’univers entier s’arme pour l’écraser : une vapeur, une goute d’eau suffit pour le tuer. Mais quand l’univers l’écraserais, l’homme serait encore plus noble que ce qui le tue parsqu’il sait qu’il meurt et l’avantage qu’a l’univers à sur lui, l’univers n’en saait rien
3. Selon pascal la conscience humaine est conscience de nos penser le monde car nous somme à distance du monde. Le monde devient ainsi objet de notre penser. C’est à travers cette penser cette conscience que l’être humain ce découvre comme sujet mais il peut également prendre conscience de lui à travers la modification du monde.
4. Selon hegel l’homme contrairement aux plante et à la plupart des animaux ne se contente pas d’exister, il existe aussi pour lui-même. Cette conscience de lui-même il peut la développer de deux manières par la penser en se faisant une idée de lui-même mais aussi par l’action. Le travail permet d’imprimer dans le monde la marque de sa subjectivité. Ex : dans l’œuvre d’un artiste il y a l’artiste lui-même, dans l’œuvre d’un artisan également chaque être humain à sa façon transforme le monde extérieur. Et il laisse sa marque.

1. Une séparation qui est la marque sa liberté : Sartre

1. Par la conscience de soi, j’ai toujours en quelle que sorte une longueur d’avance sur moi-même : aux moment ou je prend conscience de ce que je suis , je ne le suis plus vraiment autrement dit je suis toujours potentiellement autre que moi-même
2. Il me reviens de décider si je veux être le même ou si je veux changer. En me révélant que je ne suis pas déterminer, que je ne suis rien. La conscience me révèle que je suis libre. Je ne suis pas une chose parfaitement identique à elle-même : je ne suis pas non plus seulement guidée par mon instinct et incapable de résister à c’est injonction :ex :je suis lâche, c’est comme ca. Il est évident que c’est faux, vous parlez de vous comme d’une chose qui est ce qu’elle est sans pouvoir sans arracher mais puisque vous en avez conscience, vous ne l’êtes pas c’est vous qui vous faîte lâche.
3. Dans sa philosophie Sartre pose la distinction conceptuel suivante en soi / pour soi. L’en sois est le mode d’être des choses. L’en sois est identique à lui-même sans distance opaque. Le pour sois est le mode d’être de l’homme et ce mode d’être consiste à être libre. Example : je ne suis pas feignent ou réactionnaire. Pour l’homme l’existence précèdent l’essence  
4. L’homme ce définit peu à peu et cette définition reste toujours ouverte

1. La conscience morale

1. Def

1. La conscience morale désigne l’aptitude que l’homme à de jugée c’est acte est même c’est penser ou c’est intention c’est-à-dire de leur attribuer une valeur selon les critères du bien et du mal.
2. Remarque :la conscience morale est intimement liée à la liberté il faut être libre pour pouvoir choisir entre « bien » et « mal »
3. Le principale problème sur la conscience moral et d’identifier sa source et elle un phénomène naturelle biologique, un phénomène social ou à t elle une origine Transcendante. C’est hypothèse s’exclu t elle l’une de l’autre ou bien peuvent elle être compatible    

1. La conscience morale : un phénomène social ?

1. Chaque société humaine organise la coexistence des libertés des individus, en établissant des règles de conduite.
2. Dans les sociétés moderne c’est règle prennent la forme de loi civil et loi moral. c’est-à-dire la morale d’une société
3. Ces règles proposent des critère pour évaluer une conduite ou une action. Les jugement « c’est bien » ou « c’est mal » viennent sanctionner l’action conforme ou contraire à la règle
4. Or il est impossible de ne pas être frapper par le caractére relatif est changeant de ce que l’on considére ici comme imorale la comparaison entre les différentes societe nous amene invariabkelent cknstater la relativité du critére du jugement morale
5. Ce que nous appelons critére du bien et du mal semble donc relatif en revanche ce qui s’emble absolue et universelle c’est la distibction ebtre bieb et mal. En effet sii toute les societer be uette pas la même chise derrière les mots bien et mal. En revanche toute les societer ne semble ce passez de la distinction entre des conduite qualifier de bonne et d’autre qualifier de mauvaise.

1. La conscience morale : un phhénoméne également naturelle ?

1. Selon de waal il existe des bases de la morale en raciner dans l’animalité « le pardon n’est pas une idée mystérieuse et sublime que nous devons à quelle que millénaire de judéo-christianisme(…) le fait que les singes et les hommes on tous des comportement de réconciliation signifie que le pardon a probablement plus de 30 millions d’années et qu’ils est antérieur à la séparation intervenue dans l’évolution des primates »
2. Rosseaux comme avant lui sisero pense que cette diversiter des meurse n’est pas naturelle mais que la conséquence d’une dépravation de la nature humaine par la vie dans des societer
3. Ce principe capable de nous guider il compare la conscience à un instint divin²

1. Critique de la conscience morale : nietzche

1. Nietzche dans ce texte s’attaque à la conception de la conscience morale développer par rosseaux et kante contrairement à c’est deux philosophe il ne pense pas que la conscience morale soit une autoriter trancendente à l’homme est infaillible selon lui la conscience morale ne trouve pas ca source. Dans les hautes sphéres (dieux, raison, nature rationnelle de l’homme). Mais aux contraire dans le corps, dans les instint, dans les répugnances. D’après nietzche, la conscience intellectuelle doit interroger notre prétendue conscience morale est la contraidre à ce justifier, elle ne doit pas accepter de lui obéir aveuglement
2. Nieztche par ailleurs attire notre attention sur les divers manières que nous pouvons avoir d’obeir à notre conscience : sans discuter comme on obéit à un supérieur / pars qu’on l’aime et pour lui faire plaisir

L’inconscient

1. Qu’est-ce que l’inconscient ?

1. Distinction inconscient / inconscience

1. il convient de distinguer l’adj inconscient qui désigne un individu qui se rend pas compte de c’est actes à qui la conscience fait défaut, du nom inconscient qui désigne selon la psychanalyse freudienne une partit du psychisme humain dont nous norriont pas conscient. On croyait notamment depuis Descartes que le psychisme se reduisait à la seul conscience. On découvre avec Freud que la vie psychique est infinement plus riche est complexe.
2. Les maladies psychique la theorie ne precedent. Nourrissent réciproquement Freud parle des observations qu’il fait sur c’est patient. Freud à chercher à systematiser sa doctrine afin qu’elle lui permette d’interpreter par phenomene pulsion les representation inconsciente que l’on appelleras penser inconsciente sont dominée par le desir elle ne se soumette ni destin s’oppose à l’entrer dans cette force Freud l’appelle le refoullement ,cependant les désires refouler vont chercher un chemin détourner pour remonter vers la conscience et aboutir à une satisfaction les manifestation des mala

1. l’essensielle la sexualiter investit tout le corps humain elle est définie comme un pouvoir indeterminer elle peut aboutir a des réalité diferentes exemple les relation sexuelle/la création d’œuvre le moyen correspond aux sens pro le sens des reve
2. les mani satisfaire leur libido. La maladie le psychotique et celui qui a quitter le réel et ce met à délirer le psychotique et celui qui pense que 2+2=5 et le faite que l’embete est signe qu’il est bcp moins malade. Il tient encore aux réel prend chez lui le pat sur le réel le psyvhotique le cas de

le temps

nous avons tous une expérience spontané du temps qui s’écoule de manière irrésistible est continu mais ce temps qui semble si familier mais qui échappe pourtant à notre connaissance. C’est saint augustin qui donne dans c’est confession livre 11 la formulation classique du paradoxe du temps tout à fais familier et désespérément insaisissable « qu’es donc que le temps ? si personne ne me le demande. De la réalité objective du temps quel que soit une période le mouvement suppose le temps les instruments de mesures nous font accéder à un temps mathématique uniforme quantitativement homogène, neutre les hommes se retrouvent tous ensemble tout aux long de l’histoire humaine les hommes en développent des outils technique capable de mesurer le temps avec plus en plus de précision ont vu parallèlement leur rythme de vie s’accélérer. Le temps m’a reparer

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