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L'allégorie de la caverne de Platon

Discours : L'allégorie de la caverne de Platon. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  23 Avril 2021  •  Discours  •  908 Mots (4 Pages)  •  469 Vues

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Allégorie de la caverne de ma dépression.

L'aveuglement (les premiers mois de la dépression) face à la dépression est sans doute la phase la plus difficile à vivre avec les chaînes (les péripéties négatives) qui s'épaississent, qui se multiplient et qui serrent de plus en plus fort autour de toi, autour de ton cerveau, comme une rupture amoureuse, les chicanes entre amis, la situation familiale et plusieurs autres situations négatives. Pour ma part, c'est la rupture amoureuse qui a aggravé et mis sur pied la grande partie de ma caverne (la dépression). Deux ans à être habituée à la routine avec un partenaire et lorsque cette routine se finit, tes repères et tes habitudes s'envolent. Les souvenirs s'enchaînent et te font mal à en pleurer toutes les larmes de ton corps. Les ombres (les symptômes) se renforcent due à ce changement drastique, comme la fatigue chronique et quotidienne, le manque de motivation scolaire et mentale, l'isolement, l'irritabilité, l'attitude envers tes proches qui deviennent désagréables à vivre, les idées suicidaires et les gestes suicidaires. Ma caverne (la dépression) c'est alors agrandie mais beaucoup plus vite à cause de cette rupture. Ma caverne était déjà creusée par mes ombres et ma santé mentale qui était sensible. Pour moi les chaînes (les idées noires) étaient plus fortes et plus serrées que jamais, j'étais étouffée de barbelés, j'étais au bout de mon rouleau, au bout de ma vie. Je voulais en finir et m'enterrer dans ma caverne pour ne plus avoir à subir ce mal mental intense et persistant. J'étais coincé, enchaînée dans une caverne (la dépression) dont je n'avais jamais voulu être, dont je n'avais jamais pensé pouvoir être prisonnière. Une prisonnière (moi) de cette grande aventure négative remplie de rebondissement nocifs pour mon moral qui était déjà au plus bas. J'étais aveugle dans cette caverne sans guides (médicaments) sans repères, seule dans le noir, enchaînée au plus profond et prise dans mes ombres. Ces premiers mois de dénis, les geôliers (mes parents) voyaient dans quoi j'étais tombée et dans quelle aventure je m'étais mis les pieds à cause d'une rupture amoureuse, mais moi j'étais toujours aveugle de cette caverne froide. Je ne voulais pas voir que j'étais malade mentalement, que je me détruisais le cerveau avec les chaînes de barbelée. Je ne voulais pas croire que j'étais maintenant rendue prisonnière d'une caverne profonde et que le soleil ne m'attendait plus. Viendra plusieurs semaines voir un mois après l'empilement des ombres maintenant d'un noir intense, de mes pensée suicidaire, l'éblouissement (le diagnostic) devant la vérité de la caverne qui s'est creusée beaucoup trop profonde en moi. C'est alors que mes guides (les médicaments) sont apparus dans ma vie. Des guides qui étaient fort, plus fort que jamais au début et qui m'aidait dans mon humeur irritable et diminuait mes idées noires et mes gestes noirs. Ils m'ont aidé à me sortir un peu de cette satanée caverne qui me pourrissait la vie et de me permettre de voir une petite partie de mon soleil. Malheureusement, la redescente (efficacité des médicaments) a fait à nouveau de moi la prisonnière de ma caverne et m'a fait redescendre

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