Blaise Pascal

Blaise Pascal est un brillant mathématicien et avait un intérêt pour la philosophie. Il fait notamment publié les Pensées dont nous allons étudier un extrait. Dans ce texte il nous explique la grandeur de l’Homme par rapport aux autres par sa facultés de pensées mais nous montre aussi nos faiblesses. Ainsi il montre la dualité de l’Homme. L’Homme est faible physiquement mais en est-il forcer de se soumettre ? Peut-il par sa pensée tenter de la dépasser ? Est-ce que tout notre dignité consiste-t-elle en la pensée ? C’est à ces question que Pascal essaye d’y répondre par son texte et que nous allons étudier. Dans une première parti, nous allons expliquer la grandeur de l’Homme d’après Pascal qu’il définit de la ligne 1 à 9. Ensuite dans une deuxième parti, nous allons voir la faiblesse de l’Homme et sa comparaison avec un roseaux pensant de la ligne 10 à 15 et dans une dernière parti la conclusion que Pascal nous partagent.

Tout d’abord Pascal nous explique que « La grandeur de l'Homme est grande en ce qu'il se connaît misérable. » Par cela il explique le fait que l’Homme à la faculté de savoir qu’il est misérable et en est la source de sa grandeur. Cette faculté est faite par sa prise de conscience. En effet l’Homme est un être de conscience, il peut se représenter ce qui l’entoure et lui-même. Ainsi il prend l’exemple de l’arbre « Un arbre ne se connaît pas misérable. » un arbre par le fait de ne pas pouvoir pensée ne peut prendre conscience de sa misère et donc ne peut être misérable. Il ne peut se représenter à la différence de l’Homme. C’est ainsi que découle sa conclusion « C'est donc être misérable que de se connaître misérable ; mais c'est être grand que de connaître qu'on est misérable. ». Ainsi il explique que la grandeur de l’Homme réside en sa faculté de pensée et de reconnaitre sa faiblesse procurant donc une dignité à l’Homme dans sa misère. En effet c’est ce qu’il écrit par la suite « Pensée fait la grandeur de l’Homme ». « Je puis bien concevoir un Homme sans mains, pieds, tête […] Mais je ne puis concevoir l'Homme sans pensée : ce serait une pierre ou une brute. » Pascal ici nous met en évidence sa conclusion que la grandeur de l’Homme réside par sa pensée. Pour lui un Homme peut avoir et vivre sans un membre comme une jambe mais sans pensées cette Homme deviendrait un être inerte ou irréfléchie notamment comme une « pierre » un « arbre » ou une « brute » pour citer Pascal. « (car ce n'est que l'expérience qui nous apprend que la tête est plus nécessaire que les pieds). » je pense que pascal par cette parenthèse nous montre que c’est par notre vécu que nous apprenons que la tête est plus nécessaire notamment par exemple avec l’apprentissage de l’anatomie de l’Homme à l’école.

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